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des ancêtres à ses enfants ; ils ont besoin d’un
avenir
aussi. Et de quel droit sacrifierais-je leurs espoirs à mes souvenirs
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enfants, et j’essaie de mêler à la vision de leur
avenir
la vision d’une Europe réduite à l’état de musée plus ou moins bien t
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opique d’envisager sa fonction dans le monde, son
avenir
et le nôtre en elle ? Pour ma part, j’entretiens une croyance toute m
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e la rapprocher de l’Europe. Je pense surtout à l’
avenir
de l’URSS. Que l’on soit sympathique ou non à l’expérience de dictatu
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es les plus transformatrices et les plus riches d’
avenir
, pour tous les autres hommes de la planète. Mais, riches d’avenir… ou
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s les autres hommes de la planète. Mais, riches d’
avenir
… oui, s’il est un avenir, non seulement pour l’Europe, mais pour le m
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planète. Mais, riches d’avenir… oui, s’il est un
avenir
, non seulement pour l’Europe, mais pour le monde. Dans une certaine m
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tout de même que ce fût dit ici, la question de l’
avenir
du monde se résume dans ce simple dilemme : la Planète unie ou la Bom
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pouvant rien. Mais dans une large mesure aussi, l’
avenir
du monde dépend de l’attitude de l’Europe, et de son pouvoir d’invent
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e fédération mondiale. Il n’y a de paix et donc d’
avenir
imaginable que dans l’effort pour instaurer un vrai gouvernement mond