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tale (octobre 1946)a L’eau fuit ses lèvres, la
branche
fuit sa main, et le rocher qui surplombe sa tête va tomber mais ne to
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e le bras vers ces fruits mûrs qui font ployer la
branche
au-dessus de son front, on dirait que son geste même déclenche un méc
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oins chargée de symboles : un corps, une eau, une
branche
et un rocher. C’est l’homme coupable, environné des emblèmes de sa pe
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ière, le rocher soutenu sur sa tête, l’onde et la
branche
ne s’écartant de lui qu’à l’instant où il veut les atteindre, et tout
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aume convoité s’éloignera tout aussitôt, comme la
branche
chargée de fruits. Si un homme veut la Vie éternelle par seule craint