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uvements ? Il y faudrait un théologien. Lever les
bras
au ciel, ou pointer le doigt du moraliste, n’est pas faire acte de ch
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rivière où il baigne à mi-corps, quand il lève le
bras
vers ces fruits mûrs qui font ployer la branche au-dessus de son fron
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ité sans recours. Vous prenez cette amie dans vos
bras
, vous ne trouvez à dire que des phrases banales : « Viens ici qu’on s
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bouger, entre mon fauteuil et ma table — les deux
bras
du fauteuil touchant le bord de la table — devant un bloc de papier b
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e émission, celle de la nuit. Pierre Lazareff, en
bras
de chemise, sort de sa cage vitrée, le crayon sur l’oreille et le fro
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re un soir de New York portant gauchement sous le
bras
une longue boîte noire, d’où sort un très jeune chien tremblant. C’es
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s sages que les Américains. Mais nous restons les
bras
ballants, regardant à droite et à gauche comme s’il n’y avait rien de
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s pas répondre en nous jetant simplement dans les
bras
de l’Amérique. Non seulement nous ne le devons pas, mais c’est pratiq