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par le latin d’église. Et ce n’est point que tous
ces
arts classiques ne soient sortis de l’enceinte ecclésiastique dès le
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Et de même, je suis le premier à protester contre
ces
citations d’auteurs à la mode — ou plus souvent à la mode d’il y a ci
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e cultivé, en moraliste ou en artiste. Nonobstant
ces
réserves préalables, j’ai une requête précise à présenter aux jeunes
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Qui voudra et pourra l’expliquer aux disciples de
ces
mouvements ? Il y faudrait un théologien. Lever les bras au ciel, ou
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ui qui fait l’objet déclaré du dit écrit. Parfois
ces
deux messages s’accordent et se renforcent ; le plus souvent hélas il
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ice important aux auteurs non moins qu’au public.
Ces
brèves remarques atteindront leur objet, si par leur insuffisance mêm
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il baigne à mi-corps, quand il lève le bras vers
ces
fruits mûrs qui font ployer la branche au-dessus de son front, on dir
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nourrit la vengeance des « dieux » qui frustrent
ces
désirs et qui retardent, ironiquement, d’écraser cet orgueil. Imagino
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de la maison de l’oncle, s’avançant vers lui sur
ces
flots, est bien trop réjouissante… Glanz, le conseiller d’église, se
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porter les lèvres ou la main vers cette eau, vers
ces
fruits offerts, l’amour de soi domine encore le pur Amour, et le plai
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d’une petite ville pauvre du Sud ? Ou bien toutes
ces
choses à la fois ? Je me demandais aussi : comment se peut-il que ce
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coupant le milieu, ce remplissage de kilomètres,
ces
deux mesures de musique russe indéfiniment répétées, pour ne garder q
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l’espèce particulière d’irritation que provoquent
ces
regards apparemment timides, vaguement bovins, mais directs, trop sér
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rôleur distingue à première vue les resquilleurs,
ces
jeunes gens excités qui prétendent ne pas payer de supplément parce q
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nt vides. C’était vrai, les enfants voient juste.
Ces
gens traversent le pays comme s’il n’existait pas, ils vont plus loin
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trajets portés sur les axes du monde. Quel ennui,
ces
secondes entre les deux ! j. Rougemont Denis de, « La lutte des cl
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it une impression d’ensemble que je traduirai par
ces
mots : on dirait, à la voir, qu’elle a perdu la guerre. Militairement
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les forces qu’il incarnait devant nous a réveillé
ces
forces parmi nous. L’Europe a été façonnée par le judéo-christianisme
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int par point, le refus et la destruction de tous
ces
éléments — l’anti-Europe. Qu’était-il en effet pour ceux qui le comba
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du capitalisme et par l’esprit bourgeois que tous
ces
philosophes, cependant, combattaient, passée dans notre siècle à l’ac
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Cependant, à peine libérées des dogmes religieux,
ces
masses et ces élites n’ont rien de plus pressé que de s’asservir aux
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eine libérées des dogmes religieux, ces masses et
ces
élites n’ont rien de plus pressé que de s’asservir aux dogmes d’un pa
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fin de s’éviter, disent-ils, les pires ennuis. Si
ces
abus vous font élever la voix, partout l’on vous chuchote un conseil
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ion serait de l’attaquer, d’où qu’il vienne. Mais
ces
lâchetés intellectuelles se parent des noms d’amour du peuple, de dis
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ds les hommes dont la fonction serait de dénoncer
ces
maux, d’en rechercher les causes, et d’en inventer les remèdes ? Leur
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au pouvoir, qui sont la radio et la presse. Seuls
ces
moyens sont à l’échelle des masses. Mais se faire écouter par ces moy
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à l’échelle des masses. Mais se faire écouter par
ces
moyens, c’est aussi n’être plus entendu, car il s’agit de s’adapter,
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ore, l’esprit totalitaire marque des points. Tous
ces
maux et tant d’impuissance à y parer n’ont pas manqué de provoquer da
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ive qu’on manque d’indulgence… Faisons la part de
ces
travers ou de ces exagérations. Il reste cependant un fait qui ne dép
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’indulgence… Faisons la part de ces travers ou de
ces
exagérations. Il reste cependant un fait qui ne dépend à aucun degré
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s. Nous voyons l’Europe comme vidée, au profit de
ces
deux empires, de certaines ambitions, de certains rêves et de certain
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apparaît aujourd’hui étrange, inhumain, menaçant.
Ces
notions et ces mythes qui nous reviennent d’outre-Atlantique ou d’out
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d’hui étrange, inhumain, menaçant. Ces notions et
ces
mythes qui nous reviennent d’outre-Atlantique ou d’outre-Oder, nous r
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le respect de la science appliquée qui régit dans
ces
deux pays l’éducation de l’enfant et l’eugénique, l’alimentation, le
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ôtre à l’origine. Mais alors, comment et pourquoi
ces
créations européennes n’ont-elles pas connu en Europe leur plein succ
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nuée où vient de nous laisser la guerre d’Hitler.
Ces
chances paraissent très faibles en vérité. L’Europe a dominé le monde
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son — je n’en juge pas ici —, ils s’imaginent que
ces
pays réalisent mieux que leur nation ce qu’ils attendent eux-mêmes de
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e le pensent et le disent nos voisins. Je songe à
ces
enfants, et j’essaie de mêler à la vision de leur avenir la vision d’
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ient nos enfants ? Alors paraît comme dénudée par
ces
questions une réponse évidente et simple. Elle tient dans un très pet
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exemple ; pour eux, c’est l’exemplaire de série.
Ces
deux sens du mot « exemplaire » nous livrent le secret de l’oppositio
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qui nous rassemble ici. En Amérique, je pense que
ces
rencontres seraient un four, ou un flop, comme ils disent. La diversi
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ie, je ne crois pas être injuste en affirmant que
ces
rencontres seraient simplement interdites, ou conduiraient leurs malh
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e. Ainsi donc, la confrontation de l’Europe et de
ces
deux filles parfois ingrates du plus grand Occident nous suggère une
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voyons dans ses plus purs modèles, crucifié entre
ces
contraires qu’il a d’ailleurs lui-même définis : l’immanence et la tr
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’accepte pas d’être réduit à l’un ou à l’autre de
ces
termes. Mais il entend les assumer et consister dans leur tension, en
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trer sur l’homme lui-même, créateur ou victime de
ces
tensions, l’effort principal de l’esprit. Européenne sera donc, typiq
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éation) c’est celui que j’appelle la personne. Et
ces
institutions à sa mesure, à hauteur d’homme, traduisant dans la vie d
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r dans une série de définitions philosophiques de
ces
deux termes : la personne et le fédéralisme. Cette manière d’apparenc
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les et nationales, et des moyens d’y remédier. Or
ces
causes, nous allons les retrouver, précisément, dans cette même agoni
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i dire, il ne l’a pas volé. Le bon moyen d’éviter
ces
excès d’engagement dans le Parti, d’oppression par l’État, ce n’est p
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également provocatrices de guerre. Cette santé et
ces
maladies se définissent respectivement comme les états d’équilibre ou
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table rase que l’Amérique, et surtout la Russie —
ces
deux grandes plaines d’un seul tenant — peuvent se permettre d’expéri
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que nous proposent l’URSS et les US. Vis-à-vis de
ces
mystiques et de ces idéaux, c’est notre sens d’un absolu qui dépasse
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’URSS et les US. Vis-à-vis de ces mystiques et de
ces
idéaux, c’est notre sens d’un absolu qui dépasse l’homme et son bonhe
55
ilibre humain nous invite à remettre à leur place
ces
prétentions divinisées, et à les taxer sobrement, non sans humour à l
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c’est là sa grandeur, a justement vécu de toutes
ces
choses gênantes, elle s’arrange à merveille de leur complexité ; elle
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e l’invraisemblable ! »2 dit Kierkegaard. Ce sont
ces
voix que les meilleurs aujourd’hui, hors des Églises, me paraissent a
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e pratiques traditionnelles permettant de tourner
ces
règles sans les détruire. Les mœurs sexuelles de l’Amérique ne sont p
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mplaçable et comme prédestiné par un acte divin.
Ces
lignes, écrites en Amérique, trahissent une critique inconsciente de
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ques : ce serait être esclave de ses machines. Si
ces
dernières se multiplient dans une cuisine et un sous-sol américain, c
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r « matérialisme » à ce propos, puisque le but de
ces
perfectionnements est d’alléger les tâches matérielles, auxquelles no
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pour Maman, que soupire le GI loin du foyer, dans
ces
trois lettres fatidiques qui sont le secret de millions de drames mat
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discrétion, en revêtant l’uniforme simple du GI.
Ces
messieurs les speakers, qui sont André Breton, le peintre Amédée Ozen
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q pages quotidiennes, je n’ai pu guère écrire que
ces
notes de journal, et deux essais pour des revues américaines. Mais ce
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et deux essais pour des revues américaines. Mais
ces
essais-là m’ont suffi pour déceler l’influence sur mon style de ce tr
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êmes. Et elles impliquent le renoncement à toutes
ces
coquetteries de style imitées de nos auteurs anciens qu’on trouvait à
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trouver, pour rentrer tout entier en Europe après
ces
deux années de violente dérive. … mais sachez-le : Nous n’étions pas
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élargi aux dimensions de la planète. Que faire de
ces
informations en vrac, dont chacune signale une menace ou une promesse
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onséquences, mais lesquelles ? Il n’est pas un de
ces
faits, grands ou petits, moral, économique, culturel, religieux, qui
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et sur nos vies individuelles. Il n’est pas un de
ces
faits qu’on puisse analyser à l’aide de nos catégories de droite et d
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nité ou révéler son ignorance. Il n’est pas un de
ces
faits, par conséquent, dont tiennent compte nos débats politiques. Ce
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démocratie… Voici l’Asie, les Indes et la Chine.
Ces
deux énormes blocs de 400 et de 450 millions d’habitants se voient en
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en Europe. Je dis bien que notre paix repose sur
ces
manques, qu’elle y trouve ses bases actuelles et ses garanties les pl
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et non ses maladies que l’on jalouse. Si l’un de
ces
quatre grands malades recouvrait subitement la santé, il deviendrait
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ce de leur nation, bien entendu. Si c’est le cas,
ces
hommes d’État sont en pleine réalité. Jamais les peuples ou les indiv
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ce rare ; et comme le jardinier lui objectait que
ces
arbres-là prennent plus d’un siècle à se développer : « Vous voyez, r
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tonome et solidaire. Il vit dans la tension entre
ces
deux pôles : le particulier et le général ; entre ces deux responsabi
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deux pôles : le particulier et le général ; entre
ces
deux responsabilités : sa vocation et la cité ; entre ces deux amours
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responsabilités : sa vocation et la cité ; entre
ces
deux amours : celui qu’il se doit à lui-même et celui qu’il doit à so
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ressive. Le fédéralisme est sur un autre plan que
ces
deux erreurs complémentaires. Chacun sait que l’individualisme outré
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dividualisme outré fait le lit du collectivisme :
ces
deux extrêmes, eux, sont dans le même plan, se conditionnent et s’app
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n. Il consiste dans la composition perpétuelle de
ces
deux forces de sens contraire, en vue de leur renforcement mutuel. Ce
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véritable n’est ni dans l’une ni dans l’autre de
ces
tendances, mais bien dans leur co-existence acceptée, dans leur dialo
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ent arranger ensemble, composer tant bien que mal
ces
réalités concrètes et hétéroclites que sont les nations, les régions
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et coutumes, qui ne pourrait satisfaire aucun de
ces
groupes, et qui les brimerait tous. Si l’Europe doit se fédérer, c’es
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re, brimeraient nécessairement un ou plusieurs de
ces
groupes, tendraient à réduire leur variété, et mutileraient ainsi dan
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en dehors des gouvernements nationaux. Et ce sont
ces
groupes et ces personnes qui formeront le gouvernement de l’Europe. I
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ouvernements nationaux. Et ce sont ces groupes et
ces
personnes qui formeront le gouvernement de l’Europe. Il n’y a pas d’a
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délégués des 22 cantons. Ce serait impraticable.
Ces
deux fédérations sont gouvernées, au-dessus de leurs États, et en deh
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lité qu’en principe. Aujourd’hui, repoussant tous
ces
anciens débats à l’arrière-plan, il y a le totalitarisme, et il y a l
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s de fédéralisme. Si au contraire, à la faveur de
ces
débats, nous parvenons à développer des réflexes de pensée fédéralist
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bsolue. Tous les États-nations qui se sont arrogé
ces
droits absolus sans devoirs, ont un penchant irrésistible à devenir t
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, et justifier après quelques années et au nom de
ces
mêmes slogans, la dictature policière. Cela s’est vu. C’est dans cett
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ion et plus ; 4° Les droits de traduction d’un de
ces
romans ne représentent au mieux qu’une fraction négligeable des bénéf
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ncées par L’Humanité. Mais dans la mesure même où
ces
digests sont des écoles de simplisme béat au service de l’idéologie m
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notant que l’Europe n’est qu’un cap de l’Asie. À
ces
faits matériels vient s’ajouter le grand fait politique des deux empi
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ui juge, tous les deux sans visage… Il semble que
ces
formes et figures soient presque seules à définir le pouvoir d’illust
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à mes propres yeux. D’autre part, il se peut que
ces
signes baignent dans une réalité profonde, celle du mythe, à quoi s’o
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ar le moyen des gouvernements. C’est en dehors de
ces
gouvernements, contre eux peut-être, que l’organisation fédérative do
100
paix, comme la vie. Il ne faut pas avoir peur de
ces
complexités, de ces complications. Elles seules préservent notre libe
101
Il ne faut pas avoir peur de ces complexités, de
ces
complications. Elles seules préservent notre liberté. Chaque jour, la
102
e la ressemblance. Car en Russie, l’État justifie
ces
scandales au nom de la dialectique marxiste : c’est ainsi que Staline
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des « condensés », on serait tenté de croire que
ces
produits sont d’invention américaine, et que leur soudaine diffusion
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ore l’Amérique en abuse moins que nous. Au reste,
ces
« condensés » sont très loin de jouer dans l’édition américaine le rô