1 1946, Articles divers (1946-1948). Théologie et littérature (1946)
1 la théologie et la littérature ne sont pas aussi clairs , ni aussi facilement définissables et contrôlables. Il est vrai que c
2 t les autres, et pour l’élite en général ? Il est clair que la théologie n’a pas besoin de la littérature et peut s’en désint
2 1946, Articles divers (1946-1948). Le supplice de Tantale (octobre 1946)
3 pie préside au vol de Tantale, quand il est assez clair qu’il jalouse les dieux, leur divination, leur puissance, et tous les
3 1947, Articles divers (1946-1948). La lutte des classes (1947)
4 uisse les bancs de bois peints en faux bois jaune clair . On s’attendait à être interrogé, dans les trois langues nationales.
4 1947, Articles divers (1946-1948). Les maladies de l’Europe (1947)
5 sont elles que l’on peut utilement éveiller à la claire conscience des causes des guerres civiles et nationales, et des moyen
5 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
6 n fait qui vaille de toute la nuit. Voilà qui est clair  : ou écrire, ou sortir. 20 mars 1942 Pluie torrentielle et fonte des
6 1947, Articles divers (1946-1948). Einstein, patriarche de l’âge atomique, m’a dit : « C’est pour dissimuler sa pauvreté et sa faiblesse que l’URSS méfiante, s’entoure de secret… » (9 août 1947)
7 pour la surmonter. Car la cause n’en est que trop claire . La Russie sait que, dans le jeu actuel, elle est le partenaire le pl
7 1947, Articles divers (1946-1948). L’attitude fédéraliste (octobre 1947)
8 tions systématiques, aux plans simples de lignes, clairs et satisfaisant pour la logique, mais par là même infidèles au réel,
9 se recoupent de cent manières différentes. Il est clair que des lois ou des institutions conçues dans un esprit unitaire, jac
10 faut donc les pousser dans le dos, voilà qui est clair , pour qu’ils acceptent un jour de renoncer non pas à la souveraineté
8 1947, Articles divers (1946-1948). Une Europe fédérée (20 décembre 1947)
11 pour un. Voilà la vocation de l’Europe. Or il est clair qu’aucune de nos nations n’est en mesure de la réaliser pour son seul