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oit au nom d’utopies plus virulentes. Cet état de
complexité
, d’intrications et de contradictions, définit l’équilibre humain qu’o
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tenir activement le parti de cette Europe, de ses
complexités
vitales, de sa culture. Une analyse sociologique assez grossière suff
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ur une méconnaissance voulue, systématique, de la
complexité
de l’homme total. Ils ne sont que des expériences, et le propre d’une
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oses gênantes, elle s’arrange à merveille de leur
complexité
; elle y voit même la saveur de la vie ! Tout cela va compter — à la
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tinage ; fuite générale devant l’intensité et les
complexités
sentimentales ; l’échange sexuel, par consentement commun, n’engage à
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incipe. — Le fédéralisme repose sur l’amour de la
complexité
, par contraste avec le simplisme brutal qui caractérise l’esprit tota
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t non pas le respect ou la tolérance. L’amour des
complexités
culturelles, psychologiques, et même économiques, telle est la santé
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t engrenés, il convient de leur montrer que cette
complexité
est la condition même de nos libertés. C’est grâce à elle que nos fon
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ification forcée des diversités, sur la haine des
complexités
vivantes, sur la destruction des groupes, et sur le mépris des vocati
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n, à chaque province. Il repose sur l’amour de la
complexité
. Et, ce qui est non moins important, il se forme de proche en proche,
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x, comme la vie. Il ne faut pas avoir peur de ces
complexités
, de ces complications. Elles seules préservent notre liberté. Chaque