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rvenir lors des prochains entretiens de Genève. À
condition
que nous ayons plus de contacts personnels entre représentants des di
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ainsi à jouer son rôle de cité internationale, à
condition
, bien entendu, que l’esprit puisse y souffler librement où il veut.
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s et peut-être antagonistes de la nature ou de la
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de l’homme. À l’origine de la religion, de la culture et de la morale
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e permanente dont on vient de voir qu’elle est la
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de l’homme européen, la source vive de sa grandeur et de sa spiritual
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t d’une seule et même tension fondamentale, d’une
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profondément et vitalement contradictoire de l’homme. Et c’est pourqu
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chec n’est pour eux qu’une perte sèche, et non la
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d’un approfondissement de la conscience et de la densité de la vie. C
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avoir dans sa féminité, elle se révolte contre sa
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, fait de nécessité vertu, prend en main les rênes de la vie, et se pr
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onomique, culturel, religieux, qui ne modifie les
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du jeu mondial et ne soit destiné à réagir, à plus ou moins longue éc
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bonhomme : « La bombe, dit-il, n’a pas changé les
conditions
de la guerre beaucoup plus que ne l’avaient déjà fait les raids massi
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inorités, destructeurs des diversités qui sont la
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de toute vie organique. Rappelons-nous toujours que fédérer, ce n’est
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vient de leur montrer que cette complexité est la
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même de nos libertés. C’est grâce à elle que nos fonctionnaires sont
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ent… « La bombe, m’a-t-il dit, n’a pas changé les
conditions
de la guerre beaucoup plus que ne l’avaient déjà fait les raids massi