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ue j’ai cru distinguer sur le visage spirituel du
continent
— je ne dis rien de son visage physique — ne trahissent qu’une fatigu
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le rayonnement s’élargissait sur tous les autres
continents
. L’Europe nous semblait donc plus grande qu’elle n’était. D’où l’effe
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que assez grossière suffit à révéler dans tout le
continent
une sorte de clivage et un double tropisme. Les masses industrielles,
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te ou de progrès capitaliste qui ont quitté notre
continent
, mais à leur suite les espoirs et les rêves des plus actifs d’entre n
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d’abord : l’Europe, cette Grèce agrandie, est un
continent
cloisonné, et par nature diversifié, impropre donc et même rebelle au