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un mal profond, dont l’hitlérisme fut la première
crise
ou le premier abcès de fixation, se révèlent à l’observateur de l’Eur
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provoquer dans les élites demeurées libérales une
crise
de pessimisme et de mauvaise conscience. Il semble que l’idée de déca
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ls… » Ma troisième raison d’espérer, ce sont les
crises
qu’il faut prévoir dans les deux empires du succès. Leurs plans, en e
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ence est de rater neuf fois sur dix. Je pense aux
crises
économiques qui menacent constamment l’Amérique. Celle de 1930 eut po
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n s’accommode de la faute, on attend la fin de la
crise
, on espère recoller tant bien que mal le ménage, afin qu’il puisse en
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espèces de quatre ou cinq foyers continentaux de
crises
et de profondes contradictions internes. Leur lien n’est pas facile à
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it civique et son système d’éducation qui sont en
crise
. Le divorce y devient une maladie sociale, les instituteurs désertent
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rgueilleux des continents, et qui fait une grande
crise
de scepticisme et de manque de confiance en soi, tandis que ses intel
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paix » que nous vivons repose en fait sur quatre
crises
, sur quatre pauvretés continentales : manque de liberté en Russie, ma
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ttise incroyable. En vingt-cinq ans, à travers la
crise
de 1929 et la guerre, ils ont fait des progrès immenses vers le série
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ujourd’hui, il ne faut pas se leurrer, il y a une
crise
du fédéralisme suisse. Et cette crise vient de ce que nous sommes ent
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il y a une crise du fédéralisme suisse. Et cette
crise
vient de ce que nous sommes entourés d’États-nations, qui menacent no
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e constitution commune qu’en 1848, au terme d’une
crise
d’assez courte durée, et en dépit d’une opposition très importante da
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même soigneusement informulée, jusqu’à ce que la
crise
d’une guerre civile, en 1847, l’ait forcée à prendre forme et force d
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oit devenir à son tour missionnaire. Telle est sa
crise
: ou se nier, ou triompher, mais sur le plan de l’Europe entière. Le
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fédérale a marqué un progrès. Lors de la dernière
crise
grave, la guerre civile de 1847 opposant catholiques et protestants,