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il qu’à l’obscurantisme théologique qui dénote la
culture
d’aujourd’hui, réponde chez les théologiens un « refus d’informer » s
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in qu’on nomme Europe. Il conditionne aussi notre
culture
. Et nous allons voir qu’il traduit, et parfois aussi qu’il trahit, la
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rope a dominé le monde pendant des siècles par sa
culture
d’abord, dès le Moyen Âge, par sa curiosité et son commerce à l’époqu
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donc en propre ? Un monopole unique : celui de la
culture
au sens le plus large du terme, c’est-à-dire : une mesure de l’homme,
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e cette Europe, de ses complexités vitales, de sa
culture
. Une analyse sociologique assez grossière suffit à révéler dans tout
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ruines, des préjugés sociaux, et des habitudes de
culture
périmées, ou peut-être perverses, comme le pensent et le disent nos v
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ion de l’homme. À l’origine de la religion, de la
culture
et de la morale européennes, il y a l’idée de la contradiction, du dé
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lement que leurs raisons ne sont pas celles de la
culture
; que la culture suppose la libre discussion, en vue d’un engagement
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raisons ne sont pas celles de la culture ; que la
culture
suppose la libre discussion, en vue d’un engagement plus authentique
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, à hauteur d’homme, traduisant dans la vie de la
culture
, comme dans les structures politiques, les mêmes tensions fondamental
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ion, une occasion de réveil. C’est un fait que la
culture
laïque, a-chrétienne ou antichrétienne, qui prétendait se substituer
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ique — dans les arts sacrés comme vis-à-vis de la
culture
vivante, laissant celle-ci désorientée. Il s’agit que nos théologiens
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es. Sans « dévotion » à rien d’avouable… Toute la
culture
de l’Occident — musique, peinture, philosophie, littérature — est sor
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vertit la vie sexuelle et l’élève au niveau de la
culture
. Puritain ou émancipé, le jeune Américain semblerait un peu fade à no
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progrès immenses vers le sérieux et vers la vraie
culture
. Toutefois, je m’étonne de la manière dont ils réagissent, ou plutôt
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, la richesse de l’Europe et l’essence même de sa
culture
seraient perdues si l’on tentait d’unifier le continent, de tout méla
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ner l’attention des mises au pas mensuelles de la
culture
décrétées par Jdanov en Russie, proclame que « l’Amérique dégrade l’e
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lusion naturelle, — reste toute la question de la
culture
américaine dans ses rapports avec « l’esprit », pour parler comme les
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e ont coutume d’insister sur deux traits de cette
culture
qui leur paraissent foncièrement déplaisants : la dictature de l’arge
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nous voici tout près des problèmes que pose la «
culture
des masses » en Russie comme en Amérique. Un communiste moins que tou
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ts ou serviles dans le domaine des mœurs et de la
culture
elle y perdrait autant que nous. L’Europe a dépassé le stade de l’ind
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éditeurs, n’est-il pas un enfant devant la vraie
culture
? N’a-t-il pas droit aux mêmes égards que la jeunesse de la part de c
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« condensés » tant qu’on n’aura rien fait pour la
culture
des masses ; car nous sommes en démocratie, et les masses y sont le d