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» leurs sermons. Ce n’est pas la littérature qui
doit
prêter secours à la Parole de Dieu, mais c’est le contraire. S’il arr
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non seulement ce que les écrivains, à leur insu,
doivent
à l’atmosphère religieuse de leur époque, mais surtout comment ils pâ
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. 10. Une critique théologique de la littérature
devra
mettre en garde son public contre l’illusion courante qui consiste à
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ceux qui font la volonté de mon Père… » que nous
devons
prendre au sérieux. Faire la volonté de Dieu, en écrivant, ce n’est p
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la première, je puis dire après coup que j’aurais
dû
trouver une clé dans cette lettre d’un sourd-muet à son ami devenu fo
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ce sont les cas d’ordre, de paix et de raison qui
doivent
nous étonner quand ils paraissent, phénomènes hautement improbables,
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arement observés sur la planète, et que la presse
devrait
mettre en vedette, au lieu de nous rebattre les oreilles du train-tra
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nconsciemment, comme si notre système de sécurité
devait
être à chaque instant vérifié, mis au point, méticuleusement nettoyé
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ux monsieur en noir, au col rond, dur et haut, ce
doit
être un évêque anglican, somnole. En face de lui, la beauté même, « ô
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de, semblaient dire : « Me voilà, c’est ainsi, tu
devais
t’y attendre, compte mes rides, et si tu veux m’aimer, regarde bien d
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rute, et son point de vue, c’est que la brutalité
doit
toujours triompher ; l’autre est un parfait gentleman qui croit que l
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dans toute son étendue réelle, sous nos yeux. On
doit
considérer comme liquidée, au sens le plus récent de ce terme, l’illu
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la politique des nations. Ici, l’équilibre vivant
doit
s’établir entre les groupes divers et la nation unie, puis entre les
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ses déviations perpétuelles vers l’individu sans
devoirs
ou vers le militant sans droits sont les vraies causes de nos malheur
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, de croire à nos chances de durée, ne peut ni ne
doit
vous suffire. J’en indiquerai rapidement quelques autres, et ce sera
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s, autrefois, les redoutaient ; je pense qu’elles
doivent
aujourd’hui les nourrir, si cet esprit critique, ce scepticisme, s’ap
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u transcendant, précisément, c’est notre foi, qui
doit
faire de nous des douteurs et des objecteurs de conscience. Cependant
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ois, l’attitude d’engagement et de solidarité qui
doit
ici nous inspirer, je dirai, songeant à l’Europe et à sa vocation mon
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iversités nationales. Que dis-je, il peut ! Il le
doit
, et de toute urgence ! S’il y échoue, je ne vois aucune raison d’atte
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e de la femme manifeste qu’elle sait ce qu’on lui
doit
. Comme elle est installée dans la vie ! Elle s’y avance avec l’autori
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eur — « cette part de la personnalité du fils qui
devait
devenir l’amour d’une femme de son âge ». Mom le transmute en sentime
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fort coûteuse basée sur un mensonge : l’intéressé
doit
en effet déclarer devant la cour son intention bien arrêtée de vivre
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une seconde fois. Cette éventualité, d’ailleurs,
doit
être envisagée très sérieusement. Chaque jour dans les courriers mond
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En tant que citoyen, me dit-il, il serait de mon
devoir
de publier ce livre. Mais en tant qu’éditeur, ce serait un suicide. —
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ns à me poser au sujet d’un de mes livres dont il
devra
parler au séminaire de littérature. Que veut-il donc savoir ? Simplem
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afétéria, — un restaurant très bon marché où l’on
doit
se munir d’un plateau, de services et d’assiettes pris sur la pile, p
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sens logique, la rapidité du raisonnement, etc.)
doit
donner un chiffre total supérieur à 135. Le génie, s’il est physicien
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livre et ferais bien de ne plus m’en échapper. Je
devais
aller chez des amis après le dîner. J’entre au hasard dans un petit r
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nue. La salle étroite et profonde paraît vide. Il
doit
être environ neuf heures et demie. J’hésite sur le seuil : va-t-on me
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es de suie s’écrasent sur mon papier, la verrière
doit
être fendue ou mal jointe. Raccommodé avec un ligament de ficelle ver
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mme le monde est une vitrine, en bonne partie, il
doit
être possible de déterminer le degré de fortune ou d’infortune d’un a
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et le dimanche matin j’annonce subitement que je
dois
rentrer en ville pour une affaire pressante. En vérité, j’ignorais qu
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ue nous rêvons d’organiser. Celle par exemple qui
devrait
durer trois jours dans une vaste demeure aux portes condamnées, où ch
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s beau. Tard dans la nuit je me retire épuisé (je
dois
rentrer pour neuf heures à New York), mais il vient encore dans ma ch
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vous n’êtes plus l’invité mais un client, et qui
devrait
s’arranger pour payer. Et quand vous n’avez plus d’argent, c’est tout
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s’agit du livre intitulé La Part du diable , qui
devait
paraître à New York à la fin de 1942, dans une première version. La s
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: « Maman pense que vous pourrez m’aider pour mes
devoirs
d’arithmétique. » Je l’ai aidée de mon mieux. C’est une charmante enf
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la cité ; entre ces deux amours : celui qu’il se
doit
à lui-même et celui qu’il doit à son prochain — indissolubles. Cet ho
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s : celui qu’il se doit à lui-même et celui qu’il
doit
à son prochain — indissolubles. Cet homme qui vit dans la tension, le
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la conception de l’homme sur laquelle nos travaux
doivent
se fonder et qu’ils ont pour but ultime de promouvoir, nous pouvons p
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que « tous pour un » signifie l’aide que l’union
doit
apporter à chaque région et à chaque personne. Il est infiniment prob
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ntre les empiètements du pouvoir central. Et nous
devrons
constamment rappeler aux deux partis que le fédéralisme véritable n’e
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stoire où le fédéralisme suisse, s’il veut durer,
doit
devenir à son tour missionnaire. Telle est sa crise : ou se nier, ou
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, pour la Suisse, je le vois dans ce fait qu’elle
doit
se formuler. Elle doit dire ce qui allait sans dire et qui alors n’en
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s groupes, et qui les brimerait tous. Si l’Europe
doit
se fédérer, c’est pour que chacun de ses membres bénéficie de l’aide
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era déjà plus qu’à moitié gagnée. Car si l’Europe
doit
durer, c’est aux fédéralistes qu’elle le devra, et à eux seuls. Sur q
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ope doit durer, c’est aux fédéralistes qu’elle le
devra
, et à eux seuls. Sur qui d’autre peut-elle compter ? Elle ne doit pas
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euls. Sur qui d’autre peut-elle compter ? Elle ne
doit
pas compter sur les gens au pouvoir. J’en connais peu qui aient l’int
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ations qui se sont arrogé ces droits absolus sans
devoirs
, ont un penchant irrésistible à devenir totalitaires. Et ce n’est poi
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ce qu’on publie dans un pays donné ne peut et ne
doit
servir que le parti au pouvoir. Ainsi, Faulkner, Hemingway et Miller,
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s en Europe occidentale de Tolstoï et Dostoïevsky
devrait
être mis au crédit des sombres desseins du tsarisme ? Et, de même, l’
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mune aux peuples de l’Europe : ni l’individu sans
devoirs
ni le soldat politique sans droits, mais la personne à la fois libre
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is libre et engagée, l’homme qui sait ce qu’il se
doit
et ce qu’il doit aux autres. Voilà ce que cherchent dans tous nos pay
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ée, l’homme qui sait ce qu’il se doit et ce qu’il
doit
aux autres. Voilà ce que cherchent dans tous nos pays les meilleures
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un jour, les défaitistes auront perdu comme il se
doit
, et les nationalistes feront l’opposition indispensable à tout régime
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ce qui va plus loin. Ce n’est pas une erreur qui
doit
ouvrir la voie. Mais essayons de ramener l’attention sur cet obstacle
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uperstitieux, parce que tout amour est unique, et
doit
donc inventer ses signaux, indices, repères et mesures. La science se
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ers l’union, et, d’autre part, l’aide que l’union
doit
apporter à chaque région et à chaque personne. Au mois d’août dernier
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ntre eux peut-être, que l’organisation fédérative
doit
naître. Il faut provoquer les états généraux de l’Europe. C’est le se
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hèvera de mettre au point le prochain livre qu’il
doit
publier : Les Personnes du drame . J’y traite de Goethe, de Kafka, d
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emiers, l’Europe n’est plus rien par elle-même et
devrait
s’attacher au plus vite soit au bloc russe soit au dollar américain.
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les bras de l’Amérique. Non seulement nous ne le
devons
pas, mais c’est pratiquement impossible. Car l’Amérique n’a nullement
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vantès n’ont jamais reçu le prix Goncourt, ce qui
doit
apaiser bien des scrupules. Mais voici deux exemples célèbres de gran
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ondenser » un lauréat quelconque de la saison. Je
dois
avoir l’esprit mal fait : j’ai peine à partager cette répulsion. C’es
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choisis qui l’illustraient et le nuançaient, que
doit
-on dire de presque toutes les traductions ? Et surtout des adaptation
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chez le libraire. Tous les critiques français ne
devraient
-ils pas se liguer pour qu’un code de ce genre soit adopté ? v. Rou