1 mes « d’avenir »… Celui qui ne veut pas croire au diable travaille fatalement pour lui. Cambridge (Mass.), 18 avril 1941 Quinz

2 m’ayant remarqué, je l’entends dire : « Voilà le diable  ! » Ils se retournent à demi et rient. J’ai fui. Pas d’autre restaura

3 crypte de pierre nue. Exorciser en moi la part du diable , celle qu’il a sans doute prise à mon ouvrage. Idée bizarre : si j’ai

4 t que je m’escrimais contre son image fuyante, le diable a tranquillement vidé mon compte en banque, et je ne suis pas plus av

5 uit. Profité de ce bref loisir pour reprendre mon diable abandonné dans un tiroir depuis des mois, et pour en récrire deux cha

6 tres. 7. Il s’agit du livre intitulé La Part du diable , qui devait paraître à New York à la fin de 1942, dans une première

7 crit Vivre en Amérique , j’ai publié La Part du diable et m’en vais sortir très prochainement Journal des deux mondes , do

8 ement du sort de l’Europe. L’auteur de La Part du diable m’en parlera lui aussi, tout à l’heure. Mais, d’abord, il faut faire