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celles mêmes de la mort, font place aux lois des
dieux
, qui sont celles de l’esprit ; et des dieux irrités contre l’homme, c
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s des dieux, qui sont celles de l’esprit ; et des
dieux
irrités contre l’homme, c’est-à-dire d’un esprit coupable. Regardons
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s deux crimes, dit la Fable. Admis à la table des
dieux
, il avait dérobé à ses hôtes leur nectar et leur ambroisie, pour les
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ntale, quand il est assez clair qu’il jalouse les
dieux
, leur divination, leur puissance, et tous les plaisirs qu’ils en tire
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uant à la mise à mort du fils, offert ensuite aux
dieux
comme nourriture meilleure, il est surprenant d’observer qu’elle inve
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omme tue lui-même son fils, et donne sa chair aux
dieux
pour qu’ils en meurent, — s’ils perdent leur divinité de s’être une f
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humain. Parce qu’il a convoité la nourriture des
dieux
, Tantale se voit refuser celle du commun des hommes. Sa jalousie se r
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et c’est pourquoi les châtiments qu’infligent les
dieux
revêtent en général un caractère de revanche pure et simple, et comme
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nscendance, ou d’un appel venu d’ailleurs. (Les «
dieux
» n’étant, en fait, que ses propres limites.) Dans l’histoire du supp
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et le même orgueil, il nourrit la vengeance des «
dieux
» qui frustrent ces désirs et qui retardent, ironiquement, d’écraser