1 1947, Articles divers (1946-1948). Les maladies de l’Europe (1947)
1 eraient un four, ou un flop, comme ils disent. La diversité de nos points de vue inquiéterait l’auditeur plus qu’elle ne l’intére
2 lus haut point comme entité spirituelle, dans les diversités qui s’expriment ici, à Genève, dans notre rencontre. Ainsi donc, la c
3 ossède Bonaparte d’unifier l’Europe au mépris des diversités nationales provoquera, sous Napoléon, la naissance des nationalismes.
4 D’une part, en effet, le nationalisme écrase les diversités vivantes, sous prétexte d’unification, et alors on ne saurait plus pa
5 u’il respecte à l’intérieur d’une nation la riche diversité des groupes, il est prêt à s’ouvrir à des unions plus vastes. Il les
6 le est seule en mesure de le faire à cause de ses diversités  ; et de le faire non seulement pour son salut, mais pour celui de la
2 1947, Articles divers (1946-1948). L’opportunité chrétienne (1947)
7 èle même d’une union mondiale dans le respect des diversités nationales. Que dis-je, il peut ! Il le doit, et de toute urgence ! S
3 1947, Articles divers (1946-1948). L’attitude fédéraliste (octobre 1947)
8 éel, vexants pour les minorités, destructeurs des diversités qui sont la condition de toute vie organique. Rappelons-nous toujours
9 e. — La fédération n’a pas pour but d’effacer les diversités et de fondre toutes les nations en un seul bloc, mais au contraire, d
10 ichesse de la Suisse par exemple, réside dans ses diversités jalousement défendues et maintenues. De même, la richesse de l’Europe
11 uisqu’elles consistent simplement à supprimer les diversités , par incapacité de les composer en un tout organique et vivant. Enfin
12 et des oppositions, sur l’unification forcée des diversités , sur la haine des complexités vivantes, sur la destruction des groupe
4 1947, Articles divers (1946-1948). Une Europe fédérée (20 décembre 1947)
13 entielles à la vie, qui s’appellent l’unité et la diversité , la sécurité et le risque, la vie privée et le service public, la cen
14 moyens d’articuler, d’arranger sans les tuer, les diversités de tous ordres (politiques aussi bien qu’économiques) dans un corps,