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re technique s’est transformé, les références aux
dogmes
ont disparu, l’appareil logique emprunté aux sciences physico-mathéma
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ur objet principal de formuler et de critiquer le
dogme
chrétien dans l’Église, elle est en droit de laisser à d’autres le so
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est que l’écrivain romantique croit voir dans les
dogmes
autant d’entraves à l’essor créateur, tandis que le classique y trouv
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tistiques d’État. Cependant, à peine libérées des
dogmes
religieux, ces masses et ces élites n’ont rien de plus pressé que de
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s n’ont rien de plus pressé que de s’asservir aux
dogmes
d’un parti. Tout ce qu’a perdu la religion, c’est la politique qui le
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tous les plans frontières et visas, renoncent au
dogme
meurtrier de la souveraineté absolue, créant ainsi une attitude nouve
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— à mettre en doute la vérité et la validité des
dogmes
chrétiens. L’ère des argumentations « scientifiques » contre la Genès
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l’intégration fédérale des nations, renonçant au
dogme
de leur souveraineté absolue, et acceptant sous une forme ou sous une
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oint par point, avec une étonnante précision, aux
dogmes
des totalitaires. Tous les systèmes totalitaires, en effet, sont fond
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hison s’ils transigeaient un seul instant avec le
dogme
de la souveraineté absolue. L’union, la paix, que la plupart d’entre