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on point en tant qu’écrivains-amateurs ou gens de
goût
. Sans rien préjuger du succès ou de l’influence possible d’une interv
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laquelle les protestants anglo-saxons montrent un
goût
immodéré. Je connais un bon nombre d’ouvrages religieux dont le style
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on génie, une Europe américanisée — ce serait par
goût
— soviétisée — ce serait par contrainte — dans les deux cas colonisée
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’aime point souffrir, et tient pour perversion ce
goût
de la torture exaltante et intéressante qui fait le sujet de nos plus
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des circonstances qui les causent. Il n’a pas le
goût
de la durée intense. C’est tout de suite ou jamais. C’est OK ou ce n’
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me à son égard est faite pour éveiller en elle le
goût
de la liberté et de l’autonomie, comme elle dira ; entendons bien : d
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e passe comme si l’homme d’Amérique n’avait qu’un
goût
modéré pour la femme, dont il ne serait que la conquête plus ou moins
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qu’il ignore, c’est ce mélange de scrupules et de
goût
de les violer, de sentiment longuement macéré et de raffinements casu
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ion n’est pas si simple. Car après tout, c’est le
goût
du public qui fait le succès financier d’un roman, bien plus que la p
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ide et autres détails qui blessent inutilement le
goût
. Dans Othello, il supprime Jago, et l’action « s’expédie en vingt-qua
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nsent le roman russe, l’adaptent sans réplique au
goût
français, et le réduisent aux dimensions civilisées du volume à trois
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il suffit. Le résumé, l’adaptation d’une œuvre au
goût
réel ou supposé du public d’une époque et d’un pays, ce n’est pas une