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e on s’en convaincra par la lecture des écrits du
jeune
Marx sur la dialectique hégélienne. De nos jours, le vocabulaire tech
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alables, j’ai une requête précise à présenter aux
jeunes
théologiens qui me liront. Je voudrais que certains d’entre eux se co
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de poètes, de romanciers et d’essayistes des plus
jeunes
générations, en Europe, en Angleterre et dans les deux Amériques. Not
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r leur insuffisance même, elles incitent quelques
jeunes
théologiens à pousser plus avant dans un domaine que j’espérais simpl
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ur ouvre de gros yeux fixes, où rien ne vient. Le
jeune
prédicateur Flachs, lui, serait tout disposé à se lamenter ecclésiast
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, la tête de beaucoup d’êtres, les souffrances du
jeune
Werther, un petit champ de bataille, lui-même enfin, en train de se t
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n de quatre étages où m’avait amené Golo, le plus
jeune
fils de Thomas Mann. Un mélange improbable de Kafka, d’Enfants terrib
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Benjamin Britten et Paul Bowles représentaient la
jeune
musique, Gypsy Rose Lee la danse et le strip-tease, et tous les autre
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lpture précolombienne. Je crois bien que toute la
jeune
littérature, la jeune musique, la jeune peinture, la jeune chorégraph
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Je crois bien que toute la jeune littérature, la
jeune
musique, la jeune peinture, la jeune chorégraphie américaines ont tra
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toute la jeune littérature, la jeune musique, la
jeune
peinture, la jeune chorégraphie américaines ont traversé cette maison
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térature, la jeune musique, la jeune peinture, la
jeune
chorégraphie américaines ont traversé cette maison de Brooklyn, seul
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Vieux Monde. ⁂ La principale différence entre la
jeune
littérature américaine et la française, c’est que la première ne prof
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te Dostoïevsky, Flaubert et Kierkegaard, là où un
jeune
Français citerait sans doute Hemingway, Dos Passos et Steinbeck. C’es
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Passos et Steinbeck. C’est dire peut-être que les
jeunes
Américains sont moins anxieux de renouveler ou d’assouplir leurs proc
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être qu’un accord isolé de la partition. Chez les
jeunes
écrivains américains, chez Carson McCullers en tout cas, vous ne pour
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condes : il a tort, c’est la classe vulgaire. Des
jeunes
femmes aux moues insolentes, vêtues comme des réclames de magazines,
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tte « Cadillac » promise, affirment-elles, par le
jeune
mâle placide qui leur fait face, mi-flatté mi-gêné. Je me sens deveni
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estes, et même d’appeler à son secours des forces
jeunes
. Posons-nous donc sans nul cynisme, mais avec sang-froid cette questi
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, exprime avec un grain d’humour l’attitude de la
jeune
Amérique vis-à-vis du problème des sexes. Si vous tenez entre vos mai
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néma. Ce « tonitruant troisième sexe » dérobe aux
jeunes
femmes — selon le même auteur — « cette part de la personnalité du fi
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s qu’aucune autre. Dans la femme qu’il épouse, le
jeune
Américain, inconsciemment, cherche la mère. Il la sert, elle l’endort
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vie, mais pour un bail de « trois-six-neuf ». Une
jeune
héritière très connue déclarait à un groupe de journalistes qui la fé
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au niveau de la culture. Puritain ou émancipé, le
jeune
Américain semblerait un peu fade à nos romanciers de l’amour. Il rest
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justes » limites, fixées par le Comité Hays, — le
jeune
Américain, s’il trouve une voie saine et quelques disciplines pratica
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stes ou rhétoriques nos poèmes et nos essais. Une
jeune
romancière me disait : « Vous autres, Européens, vous écrivez comme s
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ur d’un verre et d’un problème les écrivains, les
jeunes
professeurs, les logiciens et les théologiens. On m’y a présenté troi
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Une fois sacré génie, il a sa carrière faite. Les
jeunes
professeurs le vénèrent, on lui décerne des bourses, on lui offre des
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nt André Breton, le peintre Amédée Ozenfant et le
jeune
fils des Pitoëff, se voient priés de passer au studio 16 pour l’émiss
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le bras une longue boîte noire, d’où sort un très
jeune
chien tremblant. C’est un boxer qu’il baptise Annibal. Je lui apprend
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La
jeune
littérature des États-Unis devant le roman américain (7 juin 1947)m
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n de quatre étages où m’avait amené Golo, le plus
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fils de Thomas Mann. Un mélange improbable de Kafka, d’Enfants terrib
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Benjamin Britten et Paul Bowles représentaient la
jeune
musique, Gypsy Rose Lee la danse et le striptease, et tous les autres
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lpture précolombienne. Je crois bien que toute la
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littérature, la jeune musique, la jeune peinture, la jeune chorégraph
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Je crois bien que toute la jeune littérature, la
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musique, la jeune peinture, la jeune chorégraphie américaines ont tra
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toute la jeune littérature, la jeune musique, la
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peinture, la jeune chorégraphie américaines ont traversé cette maison
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térature, la jeune musique, la jeune peinture, la
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chorégraphie américaines ont traversé cette maison de Brooklyn, seul
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le Vieux Monde. La principale différence entre la
jeune
littérature américaine et la française, c’est que la première ne prof
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te Dostoïevsky, Flaubert et Kierkegaard, là où un
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Français citerait sans doute Hemingway, Dos Passos et Steinbeck. C’es
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Passos et Steinbeck. C’est dire peut-être que les
jeunes
Américains sont moins anxieux de renouveler ou d’assouplir leurs proc
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rmentent l’époque. m. Rougemont Denis de, « La
jeune
littérature des États-Unis devant le roman américain », Le Figaro lit
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On m’assure que l’éditeur d’Ambre fit savoir à la
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et jolie femme qui en est l’auteur qu’il jugeait l’ouvrage très mauva
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des hommes de 40 à 50 ans. Je pensais que de plus
jeunes
nous relèveraient, s’imposeraient. Eh bien ! non. Ceux qui se tiennen