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ar les docteurs de l’Église, ni par les critiques
littéraires
. Et cependant comment en nier l’importance, dans un siècle où la litt
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les théologiens se mettent à faire de la critique
littéraire
, comme il arrive qu’on en lise sous leur nom dans les revues de pensé
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on idée serait bien plutôt d’exiger des critiques
littéraires
un minimum de connaissances théologiques, dont ils se montrent cruell
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une sorte de direction spirituelle des tendances
littéraires
de leur époque ; mais ceci, je le répète en tant que théologiens, non
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il importe de rappeler ici, c’est que toute œuvre
littéraire
, si profane qu’en soit le sujet, implique une théologie (fût-ce à l’i
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’ignore pas que l’indignation morale est un genre
littéraire
, dont la rhétorique fort ancienne peut entraîner à l’injustice. Et qu
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de à New York. — J’ai enfin découvert un « milieu
littéraire
» dans ce pays. Et ce n’était pas une terrasse de café, ni l’anticham
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composition de notre équipe en termes de gazette
littéraire
. L’ancien rédacteur en chef de Paris-Soir assisté par l’ancien secrét
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centrale d’anciens collaborateurs des Nouvelles
littéraires
, du Collège de sociologie, d’ Esprit , du Figaro , etc. Telles sont
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États-Unis devant le roman américain », Le Figaro
littéraire
, Paris, 7 juin 1947, p. 1.
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égale entre les États-Unis et l’URSS », Le Figaro
littéraire
, Paris, 8 novembre 1947, p. 1-2.
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is voici deux exemples célèbres de grandes œuvres
littéraires
« condensées » dans leur propre langue. On connaît la fortune des Lam
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sous le double rapport du succès et de la valeur
littéraire
intrinsèque, que le Roman de Tristan et Yseult, dans la version de Jo
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n signifiant pour les uns : dépourvu de scrupules
littéraires
et de style, pour les autres : excitant et moderne.) Or non seulement
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ncé (La querelle des « condensés… ») », Le Figaro
littéraire
, Paris, 14 février 1948, p. 1 et 3.