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s sections de nos élites. D’autres symptômes d’un
mal
profond, dont l’hitlérisme fut la première crise ou le premier abcès
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e passe comme si l’écrasement du foyer même de ce
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infernal n’avait eu pour effet que d’en faire rejaillir de tous côtés
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es hommes dont la fonction serait de dénoncer ces
maux
, d’en rechercher les causes, et d’en inventer les remèdes ? Leur voix
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l’esprit totalitaire marque des points. Tous ces
maux
et tant d’impuissance à y parer n’ont pas manqué de provoquer dans le
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produit chez nous ni tout leur bien, ni tout leur
mal
? C’est qu’en Europe, elles se trouvaient toujours en état de composi
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mposition, tandis qu’ailleurs, pour le bien et le
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, elles se sont déployées sans frein ni contrepoids. Le capitalisme, c
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ier, un maniaque ou un inventeur. Son bien et son
mal
sont liés, inextricablement et vitalement. L’Européen connaît donc la
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des « survivances religieuses », firent autant de
mal
aux Églises que les persécutions romaines aux premiers temps leur ava
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nt à ses yeux autant de preuves que l’affaire est
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engagée et qu’il ferait bien d’y renoncer. Si quelque drame se noue d
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iste que sa belle-mère. Quant à l’homme, cause du
mal
et victime peu consciente, il se réfugie dans son club ou parmi les c
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’avenir, qu’offre l’interruption d’une expérience
mal
engagée ou négative. Nous pensons, comme toujours, à conserver5, eux
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fin de la crise, on espère recoller tant bien que
mal
le ménage, afin qu’il puisse encore offrir à l’opinion une façade de
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tabous. On ne pense plus que la « chair » soit le
Mal
, ni ses désirs des signes de malédiction divine. Peu ou point de pude
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raffinements casuistiques, de conscience dans le
mal
et de plaisir au drame qui, chez nous, pervertit la vie sexuelle et l
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er. Mais c’est aussi parce qu’on ne croit plus au
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, en Amérique. « C’est trop affreux pour être vrai », dit-on des récit
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t sur mon papier, la verrière doit être fendue ou
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jointe. Raccommodé avec un ligament de ficelle verte le pied cassé de
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des malheurs de sa France… Juin 1942 La guerre va
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, il faut le dire, et persuader l’Europe qu’elle ira bien demain. La c
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e qu’on les tient pour moins sérieux. Nous étions
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placés pour discuter cela, donc en somme pour défendre l’esprit, — qu
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sociale, les instituteurs désertent leurs postes
mal
payés et sans avenir, l’État de Géorgie se donne deux gouverneurs riv
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se pose brusquement, cette question risque d’être
mal
posée. J’entends qu’elle risque de ne susciter que des plans rationne
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plement arranger ensemble, composer tant bien que
mal
ces réalités concrètes et hétéroclites que sont les nations, les régi
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t quelconque de la saison. Je dois avoir l’esprit
mal
fait : j’ai peine à partager cette répulsion. C’est que le style de G