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n’aimons pas à rester seuls. Du matriarcat, du
mariage
et des « moms » Dans un tel monde, il ne subsiste que deux solutio
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l ne subsiste que deux solutions praticables : le
mariage
, ou l’affair d’un soir (car ils appellent affair tout autre chose que
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utre chose que le business comme nous disons). Le
mariage
à l’américaine est une institution d’un type nouveau. Il se fonde sur
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ée à tous les enterrements, le cadavre à tous les
mariages
. Satan, dit-on, sait occuper les mains oisives. La mère américaine,
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té ce qu’il gagne en intimité. Il se peut que les
mariages
de ce type — où l’homme joue le rôle de la machine numéro un dans la
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rmission de se remarier. Il arrive que le nouveau
mariage
ne soit séparé du divorce que par le temps de changer de salle, et c’
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ue jour dans les courriers mondains annonçant les
mariages
de la classe riche, vous trouverez les noms des conjoints suivis de c
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avec laquelle l’Américain divorce, révèle que ses
mariages
manquent de sens et de sérieux. Il n’y entre pas pour toute la vie, m
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ement commun, n’engage à rien, ni à l’amour ni au
mariage
; affirmation du droit au bonheur comme seule règle ; et peut-être, d