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nous, ressurgit aujourd’hui chez nous et dans nos
mœurs
— avec moins de virulence, peut-être, c’est-à-dire d’une manière moin
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nt dans les musées et bibliothèques mais dans les
mœurs
et les coutumes aussi, dans les habitudes du langage et dans l’intimi
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s dégager d’un séjour de six ans en Amérique. Les
mœurs
sexuelles de l’Europe peuvent être définies comme un jeu très complex
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tant de tourner ces règles sans les détruire. Les
mœurs
sexuelles de l’Amérique ne sont point si faciles à définir. Comment e
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ce en Amérique, détermine de nos jours encore les
mœurs
sexuelles du Nouveau Monde. J’ajouterai qu’elle les détermine princip
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ette liberté, qui entraîne une grande licence des
mœurs
chez les jeunes gens, l’Européen s’étonne de ne point trouver trace d
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uelle. Les avantages et les dangers de l’état des
mœurs
que l’on vient d’esquisser donneraient matière à tout un livre. Mais
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t le plus intéressant de l’évolution actuelle des
mœurs
américaines, c’est qu’on y pressent un avenir qui sera sans doute cel
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sérieux. Si l’on estime que l’état présent de nos
mœurs
est satisfaisant, il en résulte qu’une « éthique de l’amour » (entend
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ellents articles sur l’hygiène, les sciences, les
mœurs
chinoises, la vague de divorces, l’aviation ou le sort des Indiens ;
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vait complaisants ou serviles dans le domaine des
mœurs
et de la culture elle y perdrait autant que nous. L’Europe a dépassé
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qui traduise en politique, dans l’économie et les
mœurs
, l’idée de l’homme commune aux peuples de l’Europe : ni l’individu sa