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en son lieu. À la limite, et dans la logique d’un
mythe
où l’homme s’identifie à l’une de ses tendances, celui qui gagne est
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s maintenant de plan spirituel, et transposons le
mythe
de Tantale dans un monde où l’instant d’abandon ne signifie plus la m
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une autre confusion, d’une superstition contre un
mythe
, de quelques scélérats déclarés infaillibles contre un groupe d’autre
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insi de bien d’autres notions ou de bien d’autres
mythes
engendrés par nos œuvres. Ainsi de nos techniques industrielles, de n
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i étrange, inhumain, menaçant. Ces notions et ces
mythes
qui nous reviennent d’outre-Atlantique ou d’outre-Oder, nous refusons
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re dévorante. Sans nul doute faut-il voir dans ce
mythe
de la Mère la tragédie secrète d’une civilisation qui produit plus de
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gnes baignent dans une réalité profonde, celle du
mythe
, à quoi s’ordonnent les hasards apparents, et des structures de laque
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son Journal des deux mondes , des essais sur des
mythes
, tels que « Le supplice de Tantale », « L’Ombre perdue », « Le nœud g