1 la mère de presque tous nos arts. La musique est née dans le chœur des églises et des chapelles de couvents. La peinture e

2 olitiques. Exemples : La poésie des troubadours, née dans la seconde partie du xiie siècle, en plein conflit entre cathar

3 dans nos esprits à l’idée de progrès automatique. Née d’analyses et de pressentiments de nos défaillances internes, elle se

4 nt contre les attaques successives du scepticisme né de la science cartésienne, de l’historisme, de la philologie, puis de

5 assurent notre paix provisoire. C’est d’elles que naît l’appel à la fédération. Et si les hommes d’État qui se trouvent char

6 hes sur l’arme atomique. Dans cette petite maison naquit le nouvel âge. Le voici soudain devant moi. Souriant de ses gros yeux

7 aite courtoisie qui est la marque de l’homme bien né , M. de Rougemont nous a fait l’honneur de nous recevoir quelques inst

8 celui qui se noie. Et de même, le fédéralisme ne naîtra jamais d’un habile dosage d’anarchie et de dictature, de particularis

9 urope. Premier principe. — La fédération ne peut naître que du renoncement à toute idée d’hégémonie organisatrice, exercée pa

10 ble. Deuxième principe. — Le fédéralisme ne peut naître que du renoncement à tout esprit de système. Ce que je viens de dire

11 tion de tolérance, vertu purement négative et qui naît le plus souvent du scepticisme. Chaque nation serait mise au défi de

12 ieil Anaxagore, à penser avec les mains ? Je suis né à Neuchâtel, me dit Denis de Rougemont. J’ai fait des études de lettr

13 eloppais les principes du fédéralisme. Il ne peut naître , disais-je, que d’un renoncement à toute idée d’hégémonie organisatri

14 eux peut-être, que l’organisation fédérative doit naître . Il faut provoquer les états généraux de l’Europe. C’est le seul moye