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par le culte de la vérité objective, et malgré le
nationalisme
. Hitler représentait exactement, et point par point, le refus et la d
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faire rejaillir de tous côtés les étincelles. Le
nationalisme
fait rage, cette maladie romantique de l’Europe. Lui seul, sous le co
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qu’il était sans cesse bridé et contrarié par le
nationalisme
, par les guerres, et par tous les barrages de douanes ou de coutumes
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ous ! Ce n’est donc pas au nom de je ne sais quel
nationalisme
européen qu’il nous faut défendre l’Europe, mais au seul nom de l’hum
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nales provoquera, sous Napoléon, la naissance des
nationalismes
. Telle est la cause de presque toutes nos guerres. J’ai dit, et je ne
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e répéterai jamais assez, qu’il faut voir dans le
nationalisme
la maladie européenne, l’anti-Europe par excellence. Je compare le na
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enne, l’anti-Europe par excellence. Je compare le
nationalisme
à une espèce de court-circuit dans la tension normale qu’il s’agit de
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rticulier et le général. D’une part, en effet, le
nationalisme
écrase les diversités vivantes, sous prétexte d’unification, et alors
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tout, c’est l’Europe qui a sécrété ce contagieux
nationalisme
, c’est à elle d’inventer son antidote. Elle est seule en mesure de le
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n résoudre, et au contraire, ce serait exalter le
nationalisme
aux dimensions continentales. Ce qu’il nous faut demander, et obtenir