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s généralement reconnu, n’en est pas moins étroit
ni
moins fécond à observer. 2. Depuis les temps où la philosophie n’éta
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logie et la littérature ne sont pas aussi clairs,
ni
aussi facilement définissables et contrôlables. Il est vrai que certa
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s son ensemble ait été clairement posé ou étudié,
ni
par les docteurs de l’Église, ni par les critiques littéraires. Et ce
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posé ou étudié, ni par les docteurs de l’Église,
ni
par les critiques littéraires. Et cependant comment en nier l’importa
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t pas simplement parler de Dieu et de sa volonté,
ni
même en parler avec cette simplicité trop aisément atteinte aux dépen
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rtare. Tantale, ne croyant pas à la résurrection,
ni
au pardon, ni au salut que lui vaudrait un instant de pur abandon — p
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, ne croyant pas à la résurrection, ni au pardon,
ni
au salut que lui vaudrait un instant de pur abandon — payé de sa mort
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ent se peut-il que ce livre impossible à classer,
ni
brutal, ni sexy, ni religieux, ni relatif à la guerre de Sécession, n
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-il que ce livre impossible à classer, ni brutal,
ni
sexy, ni religieux, ni relatif à la guerre de Sécession, ni susceptib
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e livre impossible à classer, ni brutal, ni sexy,
ni
religieux, ni relatif à la guerre de Sécession, ni susceptible de fou
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ible à classer, ni brutal, ni sexy, ni religieux,
ni
relatif à la guerre de Sécession, ni susceptible de fournir un scénar
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i religieux, ni relatif à la guerre de Sécession,
ni
susceptible de fournir un scénario, ni indiscret, ni même documentair
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Sécession, ni susceptible de fournir un scénario,
ni
indiscret, ni même documentaire, ait eu tant de succès en Amérique ?
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susceptible de fournir un scénario, ni indiscret,
ni
même documentaire, ait eu tant de succès en Amérique ? Je ne vois pas
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antesque ? Pourquoi n’ont-elles produit chez nous
ni
tout leur bien, ni tout leur mal ? C’est qu’en Europe, elles se trouv
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n’ont-elles produit chez nous ni tout leur bien,
ni
tout leur mal ? C’est qu’en Europe, elles se trouvaient toujours en é
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ien et le mal, elles se sont déployées sans frein
ni
contrepoids. Le capitalisme, chez nous, n’a jamais pu donner son plei
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que celles-ci négligent de l’exercer. Les guerres
ni
les révolutions ne sont jamais initiées ni déclenchées par les masses
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uerres ni les révolutions ne sont jamais initiées
ni
déclenchées par les masses, car les masses comme telles n’ont cerveau
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masses, car les masses comme telles n’ont cerveau
ni
main, ni, par suite, faculté de décision. C’est donc sur les élites q
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ar les masses comme telles n’ont cerveau ni main,
ni
, par suite, faculté de décision. C’est donc sur les élites qu’il impo
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nnelle, de croire à nos chances de durée, ne peut
ni
ne doit vous suffire. J’en indiquerai rapidement quelques autres, et
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maison, vous ne pourrez plus gravir les escaliers
ni
vous asseoir dans les fauteuils… » Ma troisième raison d’espérer, ce
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s. On ne pense plus que la « chair » soit le Mal,
ni
ses désirs des signes de malédiction divine. Peu ou point de pudeur,
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sexuel, par consentement commun, n’engage à rien,
ni
à l’amour ni au mariage ; affirmation du droit au bonheur comme seule
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onsentement commun, n’engage à rien, ni à l’amour
ni
au mariage ; affirmation du droit au bonheur comme seule règle ; et p
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ce pays. Et ce n’était pas une terrasse de café,
ni
l’antichambre d’une maison d’édition, ni un salon — rien de tout cela
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de café, ni l’antichambre d’une maison d’édition,
ni
un salon — rien de tout cela n’existe en Amérique — mais une party. E
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ts entiers. Quitte à ne pas savoir ce qu’il juge,
ni
pourquoi… Quitte à rivaliser d’intolérance brutale avec ceux qu’il cr
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n ai jamais vu de plus serein. Point de barrières
ni
d’allées. De simples pierres dressées sur le gazon, irrégulièrement e
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et viennent sur ce toit en lisant. Comme il n’y a
ni
mur, ni barrière, il faut craindre à chaque fois qu’elles fassent un
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ent sur ce toit en lisant. Comme il n’y a ni mur,
ni
barrière, il faut craindre à chaque fois qu’elles fassent un pas de t
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ns le vif d’un sujet, sans précautions de langage
ni
fausse humilité. Puis s’efforcer de suivre la ligne de plus grande ef
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itié raison. Le véritable fédéralisme ne consiste
ni
dans la seule union des cantons, ni dans leur seule autonomie. Il con
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e ne consiste ni dans la seule union des cantons,
ni
dans leur seule autonomie. Il consiste dans l’équilibre continuelleme
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ux deux partis que le fédéralisme véritable n’est
ni
dans l’une ni dans l’autre de ces tendances, mais bien dans leur co-e
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que le fédéralisme véritable n’est ni dans l’une
ni
dans l’autre de ces tendances, mais bien dans leur co-existence accep
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s par une assemblée des gouverneurs des 48 États,
ni
la Suisse par les délégués des 22 cantons. Ce serait impraticable. Ce
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ôtre peut être conduite sans que mort s’en suive,
ni
même une amende. Si nos lois démocratiques déclaraient un beau jour e
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Notre idée de l’homme n’est pas celle du Kremlin
ni
celle du businessman américain. Nous ne voulons pas d’un régime de te
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idée de l’homme commune aux peuples de l’Europe :
ni
l’individu sans devoirs ni le soldat politique sans droits, mais la p
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peuples de l’Europe : ni l’individu sans devoirs
ni
le soldat politique sans droits, mais la personne à la fois libre et
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, qui veut que la Terre promise ne soit pour nous
ni
l’Amérique ni la Russie, mais cette vieille terre à rajeunir, à libér
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la Terre promise ne soit pour nous ni l’Amérique
ni
la Russie, mais cette vieille terre à rajeunir, à libérer de ses cloi
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t signifiant et rythmé. Il ne voit plus l’échelle
ni
le chat noir à gauche, les chevaux blancs ni les curés barbus. Il n’a
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elle ni le chat noir à gauche, les chevaux blancs
ni
les curés barbus. Il n’attend rien qui ressemble aux dictons de l’occ
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sens. Mais les neuf autres n’ont pas été vaines,
ni
muettes. Car elles m’ont dit : tu n’es pas toi, ou pas ici, tu n’y es
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le vrai poète des sujets et des mots poétiques :
ni
plus ni moins. L’un et l’autre en joue, et s’en jouent. t. Rougemo
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poète des sujets et des mots poétiques : ni plus
ni
moins. L’un et l’autre en joue, et s’en jouent. t. Rougemont Denis
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out cela je n’ai cité que des traductions, et que
ni
Goethe, ni Swift, ni Cervantès n’ont jamais reçu le prix Goncourt, ce
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n’ai cité que des traductions, et que ni Goethe,
ni
Swift, ni Cervantès n’ont jamais reçu le prix Goncourt, ce qui doit a
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que des traductions, et que ni Goethe, ni Swift,
ni
Cervantès n’ont jamais reçu le prix Goncourt, ce qui doit apaiser bie
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provoqué pareille indignation chez les critiques,
ni
rencontré pareil succès dans le grand public, s’il n’eût pas été prés