1 d’où sont issus presque tous nos romans, étaient nourris de l’hérésie manichéenne, et l’ont ainsi fait vivre jusqu’à nous et p

2 e (je ne dis pas sclérosée) favorise, soutient et nourrit des œuvres de style classique, tandis qu’une théologie libérale se li

3 lités… 8. La littérature en général trouve à se nourrir moins dans telle doctrine théologique régnante que dans l’atmosphère

4 stination les mêmes désirs et le même orgueil, il nourrit la vengeance des « dieux » qui frustrent ces désirs et qui retardent,

5 main armée se voit acceptée comme fatale, se voit nourrie de nos passivités. Voilà ce qu’on nous prépare à droite comme à gauch

6 aient ; je pense qu’elles doivent aujourd’hui les nourrir , si cet esprit critique, ce scepticisme, s’applique aux mystiques de

7 nues anonymes des caravanes de songes planétaires nourris de maintes connaissances des prestiges, et de la ruse et des métiers

8 Marshall. Preuve de plus des sombres desseins que nourrissent les grands trusts et Wall Street, acharnés à nous asservir tout en fe

9 dyssée, et même des Saintes Écritures, dont s’est nourrie toute notre enfance. Il est vrai qu’en tout cela je n’ai cité que des