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’est la raison pour laquelle ils sont toujours si
occupés
. » Dernièrement, à Paris, je disais à Carson, avec la ruse d’un inter
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alitaire qui n’a eu qu’à changer d’étiquette pour
occuper
, sans coup férir, d’importantes sections de nos élites. D’autres symp
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cadavre à tous les mariages. Satan, dit-on, sait
occuper
les mains oisives. La mère américaine, libérée des travaux qui la mai
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ents de vous plus que de nous-mêmes. Vous étiez «
occupés
», nous étions en exil, et les uns comme les autres dans l’inaccepté,
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intime que celle de l’occupation. Un conquérant n’
occupe
jamais que l’extérieur, mais l’étranger s’infiltre au cœur de l’être.
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t puis, vous êtes trop nombreux, on ne peut pas s’
occuper
de chacun de vous. Et c’est bien vrai. Nous étions trop nombreux. En
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entales qui demain disposeront de nos vies : s’en
occuper
serait s’occuper vraiment de politique. Car il n’y a plus à propremen
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n disposeront de nos vies : s’en occuper serait s’
occuper
vraiment de politique. Car il n’y a plus à proprement parler de polit
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ui en entendent parler, mais non pas Truman qui s’
occupe
d’autre chose, et dont la politique a autant de rapports avec les vom