1 e Newman sur Gerard Manley Hopkins. Mais il ne me paraît pas que le problème dans son ensemble ait été clairement posé ou étud

2 le beau titre de son premier roman qui venait de paraître — écrit entre 19 et 22 ans — et elle me dit merci, bien sérieusement

3 ncier français, quand ils discutent des idées, me paraissent être, en règle générale, tout juste aussi intelligents que leur auteu

4 x et de raison qui doivent nous étonner quand ils paraissent , phénomènes hautement improbables, très rarement observés sur la plan

5 ai cru remarquer à ce propos que le peuple suisse paraît de plus en plus enclin à respecter le velours gris et dru des seconde

6 vue d’Amérique, et j’imagine aussi vue de Russie, paraît plus petite que nature : physiquement resserrée entre deux grands emp

7 t de nous laisser la guerre d’Hitler. Ces chances paraissent très faibles en vérité. L’Europe a dominé le monde pendant des siècle

8 x directions opposées. Je le répète, nos chances paraissent très faibles dans l’ensemble, malgré les illusions de santé et de dur

9 it le monde ? Qu’y perdraient nos enfants ? Alors paraît comme dénudée par ces questions une réponse évidente et simple. Elle

10 e me suis livré en débutant sont exactes, il peut paraître assez étrange de parler après cela d’une vocation de l’Europe. Pour e

11 e est accomplie. Or, notre vocation européenne me paraît encore loin d’être accomplie… Mais cette raison irrationnelle, de cro

12 par Dieu, sa Fin, l’existence de l’esprit, etc., paraît close pour longtemps. C’est enfin un fait que les trois grandes confe

13 e les meilleurs aujourd’hui, hors des Églises, me paraissent avides d’entendre. La « folie de la Croix » non la sagesse bourgeoise

14 ajoute : « toute vocation est sans précédent, et paraît donc ‟invraisemblable” à celui qui la reçoit. Exemple : Abraham ». d

15 n sport public et diurne. Cette petite nouvelle, parue dans le respectable New York Times au mois d’avril 1946, exprime avec

16 de : elles en peignent le négatif. L’Américain me paraît peu doué pour les raffinements spirituels, peu capable de concentrati

17 r donneraient matière à tout un livre. Mais il me paraît vain de l’écrire, car l’Amérique est en pleine transition, à cet égar

18 istes. Quant à leurs femmes et amies, elles m’ont paru cultiver le genre des nihilistes russes d’antan. La plupart sont trot

19 u ensemble, j’éprouve une sorte de tristesse. Ils paraissent encore moins intégrés que leurs confrères européens à la vie de leur

20 ce n’est pas un reproche aussi violent qu’il vous paraît . Je veux dire que l’on sent chez vous un tel souci de la forme durabl

21 l. Le mot de transcendance les rend malades, leur paraît méchamment subversif, « réactionnaire », et tout est dit… 25 janvier

22 ques fragments de mon Journal d’Allemagne ayant paru dans une revue de New York, Upton Sinclair du fond de la Californie a

23 s de Madison Avenue. La salle étroite et profonde paraît vide. Il doit être environ neuf heures et demie. J’hésite sur le seui

24 Perse. — Lorsqu’il est arrivé en Amérique, il n’a paru de lui qu’une seule photo, encore était-elle prise de dos. (Mais ce t

25 se donnent pour en sortir, un jour ou l’autre, me paraissent hypocrites ou faciles à réduire. « Gagner sa vie », dit-on, mais en v

26 Je vais vous lire mon œuvre posthume ») et qui me paraît ce qu’il a fait de plus beau. Tard dans la nuit je me retire épuisé (

27 l y en a toujours trop. Cependant notre sort vous paraissait enviable, à juste titre. Les pires tourments de l’esprit et du cœur o

28 res tourments de l’esprit et du cœur ont toujours paru préférables à la torture physique, ou même à sa menace. Autant dire q

29 du livre intitulé La Part du diable , qui devait paraître à New York à la fin de 1942, dans une première version. La seconde ve

30 le beau titre de son premier roman qui venait de paraître — écrit entre 19 et 22 ans — et elle me dit merci, bien sérieusement

31 sance d’une fédération européenne. Mais ce qui me paraît important et encourageant tout à la fois, c’est qu’on assiste au même

32 pour compléter ce schéma trop rapide mais qui me paraît indispensable. Il ne faut pas penser que la personne soit un moyen te

33 suisse. Et je vais les choisir parmi ceux qui me paraissent applicables, immédiatement, dans l’état présent de l’Europe. Premier

34 ien de tout cela n’est inutile. Et tout cela, qui paraît si dispersé, si peu efficace souvent, forme peu à peu des structures

35 à une enquête] (novembre 1947)e Le problème me paraît capital, mais son énoncé sur plus d’un point critiquable ou obscur. J

36 nsister sur deux traits de cette culture qui leur paraissent foncièrement déplaisants : la dictature de l’argent, et celle du gran

37 qu’on m’invite aujourd’hui à développer ce qui me paraît une évidence, je saisirai cette occasion pour formuler quelques obser

38 ut nos divisions. Aujourd’hui les deux Grands ont paru dans leur force : tout se passe en dehors de nous, tout nous menace e

39 r le sens communautaire. En dehors d’eux rien n’a paru depuis la guerre qu’ils avaient eux-mêmes déclenchée. Et nous savons

40 Berne. Lors de l’entrée de Hitler à Paris, je fis paraître dans la Gazette de Lausanne un article qui me valut d’être condamné

41  [Entretien] Rencontre avec Denis de Rougemont », Paru , Paris, janvier 1948, p. 10-15.