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vent de comptes rendus d’amateurs qui cherchent à
parler
des livres « comme tout le monde » et à faire oublier leur « spéciali
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rrive qu’un pasteur ou un prêtre juge opportun de
parler
d’un livre, j’attends, à la fois comme fidèle et comme écrivain, qu’i
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la fois comme fidèle et comme écrivain, qu’il en
parle
en théologien, et non pas en homme cultivé, en moraliste ou en artist
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teurs « chrétiens » ou « religieux » que ceux qui
parlent
de Dieu et traitent de sujets religieux. Ici encore, « ce ne sont pa
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nté de Dieu, en écrivant, ce n’est pas simplement
parler
de Dieu et de sa volonté, ni même en parler avec cette simplicité tro
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ement parler de Dieu et de sa volonté, ni même en
parler
avec cette simplicité trop aisément atteinte aux dépens du mystère, e
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emarquables. Tous les journaux en ont abondamment
parlé
, ce qui nous dispense d’y revenir en détail. Mais nous avons tenu à r
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e la Suisse est en dehors de l’ONU, parce qu’on y
parle
sans mandat, pas au nom d’un peuple, mais d’un réel esprit européen.
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à quelque titre étaient des « creative people »,
parlaient
de Kierkegaard, de Jung, de ballet, de sculpture précolombienne. Je c
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ne sais pas quoi. Je pense qu’on est en droit de
parler
ici d’une « expérience romanesque », comme nous parlons depuis vingt
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r ici d’une « expérience romanesque », comme nous
parlons
depuis vingt ans d’une « expérience poétique ». L’exemple des dialogu
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ladies de l’Europe (1947)g On m’a prié de vous
parler
ce soir d’une Europe à laquelle je reviens après six ans d’absence, e
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favorable, il est bien légitime de s’obstiner, de
parler
d’une défense de l’Europe, de nous cramponner à ses restes, et même d
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mauvaise foi en service commandé, dont j’ai déjà
parlé
, qui fait le jeu de la réaction en écœurant par sa tactique ceux qui
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étexte d’unification, et alors on ne saurait plus
parler
d’union, puisqu’il n’y a plus rien à unir. D’autre part, il déclare s
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t sont exactes, il peut paraître assez étrange de
parler
après cela d’une vocation de l’Europe. Pour exercer une vocation, il
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ui l’absorbent chez nous. Il est étrange que nous
parlions
toujours de leur « matérialisme » à ce propos, puisque le but de ces
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La plupart sont trotskistes, ont lu Freud, ou en
parlent
. À lire les revues ou little mags où ils écrivent, à les voir chez e
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e. — Comment cela ? — Vous êtes trop objectif. On
parlerait
de cinquième colonne à propos de ma maison et de vous-même. — Savez-v
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e poser au sujet d’un de mes livres dont il devra
parler
au séminaire de littérature. Que veut-il donc savoir ? Simplement si
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che au menton. Le second était ivre. Le troisième
parlait
peu, ce qui est le privilège des génies. New York, 15 mai 1941 Recet
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presque tous ici, quand les Russes ne font qu’en
parler
. Mais les intellectuels ? Ils n’ont de choix qu’entre le journalisme
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La Révolution surréaliste et de L’Esprit nouveau
parlent
cette copie devant le micro. Cependant que s’affairent dans la grande
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s trouvons un moment pour causer. Et souvent nous
parlons
des fêtes que nous rêvons d’organiser. Celle par exemple qui devrait
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s clandestines entendront : La Voix de l’Amérique
parle
aux Français. Il est temps que je recueille et dépouille les directiv
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Saint-Ex » faire une partie d’échecs et l’écouter
parler
des malheurs de sa France… Juin 1942 La guerre va mal, il faut le dir
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rs de la planète. Mais l’un questionne et l’autre
parle
. Il parle de Briand qu’il a servi longtemps, et qui n’a jamais su qu’
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lanète. Mais l’un questionne et l’autre parle. Il
parle
de Briand qu’il a servi longtemps, et qui n’a jamais su qu’il y avait
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l’armistice… Et je doute si personne aujourd’hui
parle
un français plus sûr de ses nuances, plus naturellement mémorable. Qu
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écrire deux chapitres (sur « l’amour tel qu’on le
parle
» et la passion réelle). Tonio rentre un soir de New York portant gau
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ndre résistance. Notre angoisse était de penser :
parlerons
-nous encore le même langage au jour de ce retour en France, — dans qu
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à quelque titre étaient des « creative people »,
parlaient
de Kierkegaard, de Jung, de ballet, de sculpture précolombienne. Je c
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rel. Il est parfaitement naturel que nous aimions
parler
de politique. Il est parfaitement naturel que nos discussions se pass
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porte un fauteuil de jardin près du sien. Et nous
parlons
de l’Amérique, dont Einstein est devenu citoyen. Il me dit : — Écoute
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is j’y étais venu une première fois en 1922, pour
parler
d’un projet d’université juive à Jérusalem. On m’a donné beaucoup de
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t là l’essentiel — se sont répandues. En écoutant
parler
mardi soir l’auteur du Journal d’un intellectuel en chômage, nous nou
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er au départ quelques définitions. Il est vain de
parler
des problèmes politiques, si l’on ne s’est pas entendu d’abord sur un
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nous souhaitons un régime fédéraliste ? Nous n’en
parlerions
pas si nous pensions que le type d’homme le plus souhaitable est l’in
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cas, notre jardin nous suffirait. Mais nous n’en
parlerions
pas non plus si nous pensions avec Hitler que l’homme n’est qu’un sol
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ideau de fer, en esprit tout au moins. Si nous en
parlons
, si nous le voulons, c’est que nous savons que l’homme est un être do
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affecter nos esprits, même et surtout quand nous
parlons
de fédéralisme. Si au contraire, à la faveur de ces débats, nous parv
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iage et de la famille ». Mais il est hasardeux de
parler
de la « conception chrétienne de l’amour » comme d’une chose bien con
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ui des peuples, mais de certains journalistes qui
parlent
en leur nom. C’est ainsi que L’Humanité, comme pour détourner l’atten
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ricaine dans ses rapports avec « l’esprit », pour
parler
comme les communistes. Les intellectuels européens qui ont connu de p
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icain persécuté par ses patrons pour avoir « bien
parlé
» de l’URSS, l’un des meilleurs producers de Broadway me dit en riant
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xercée en deux occasions plus marquantes, je veux
parler
de 1917 et de 1942, et alors elle fut bien le fait de la volonté du p
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rès simples qu’il suffit de grouper pour qu’elles
parlent
clairement, et d’ordonner pour qu’un mot d’ordre s’en dégage. Quelq
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dditionnés. Ils baisseront le ton, et l’on pourra
parler
. Notre vocation Qu’aurons-nous donc à dire dans cette conversat
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les profondeurs et la surface manifeste. ⁂ Je ne
parlais
que des Grands Rêves et des vrais jeux. Bien entendu, pour l’usage qu
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ue. La voix insiste ou bien n’insiste plus ; elle
parle
plus ou moins clairement ; des portes se ferment et se rouvrent ; mon
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t de l’Europe. L’auteur de La Part du diable m’en
parlera
lui aussi, tout à l’heure. Mais, d’abord, il faut faire le point. Den
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dans un fauteuil de jardin, et nous nous mîmes à
parler
de l’Amérique, de la Russie et de la bombe atomique. Avez-vous eu l’i
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rs pensées et leur œuvre. Enfin, nous en venons à
parler
de l’Europe. Je suis profondément européen, me déclare Denis de Rouge
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ux états généraux de l’Europe dont il vient de me
parler
. Il faut, me répond-il, que toutes les professions, toutes les classe
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si vieille que celle des manuels. Et il suffit de
parler
d’adaptations (ou d’abrégés) pour que l’on soit contraint de reconnaî