1 ur si peu d’égoïsme qu’il subsiste dans l’acte de porter les lèvres ou la main vers cette eau, vers ces fruits offerts, l’amou

2 uchantes et des express européens, petits trajets portés sur les axes du monde. Quel ennui, ces secondes entre les deux ! j.

3 ntée. Et tout se passe comme si l’excès où ils la portent et l’abus qu’ils nous semblent en faire nous dégoûtaient de son usage

4 ourquoi la vocation de l’Europe et des élites qui portent la conscience de cette Europe, m’apparaît, dans un double office de v

5 , je voudrais le publier, mais il a le malheur de porter sur les années 1935 et 1936. Or le public veut de l’actualité. Le sec

6 e on résout un petit problème de logique pure. Il portait une mouche au menton. Le second était ivre. Le troisième parlait peu,

7 ités mais qui ne passent plus pour telles, et qui portent . Savoir ne point se limiter constamment à la qualité. Car cela irait

8 caine dont la moitié des habitants se préparent à porter le titre de docteur et vivent dans des châteaux néo-gothiques pleins

9 e la terre atomique passait sous mes fenêtres. Il portait un sweater bleu et un pantalon de flanelle, comme les étudiants de l’

10 iscours commencés avant 1939. À cette époque, ils portaient déjà en eux une vision du monde, un message auxquels ils sont demeuré