1 cherche à le camoufler comme Heidegger, ou qu’on préfère l’ignorer comme Dewey. 3. Les rapports entre la théologie et la litt

2 e renonce un instant, qu’il s’abandonne, et qu’il préfère soudain à son amour d’un moi coupable et torturé, l’expiation libérat

3 vrai, pour quelle indescriptible renaissance ! —  préfère subir le supplice de Tantale. C’est son orgueil et sa dignité d’homme

4 peur. Il est cet homme qui, dans chacun de nous, préfère le désir, même douloureux d’avoir été mille et mille fois déçu — mais

5 rtaine tradition européenne, non la meilleure. Je préfère emprunter, pour un moment, à nos voisins américains leurs méthodes pr

6 ’ai vécu ce que j’écris. C’est la question que je préfère . Leur familiarité réchauffe. Chaque soir, à la cafétéria, — un restau

7 ries de la logistique de Vienne, à moins qu’il ne préfère les aborder en sociologue postmarxiste ou en freudien hétérodoxe. Une

8 imiter constamment à la qualité. Car cela irait à préférer au vrai l’original, le différent. Or le but reste bien d’élever le ni

9 ur qu’une masse élargie assimile les idées ? Nous préférons marquer les points, les mauvaises notes à droite et à gauche, d’un ai

10 de Goethe, et Goethe se déclare ravi du résultat, préfère se relire en français. Vers la fin du siècle, le vicomte de Vogüé et