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n reviens à mon propos, qui était de soulever une
question
, et de suggérer pour son étude quelques hypothèses de travail. 5. L’
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mbiance de controverses théologiques mêlées à des
questions
politiques. Exemples : La poésie des troubadours, née dans la second
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ns eu Lukács, et je vois mieux maintenant quelles
questions
j’aurai à poser à la Russie. Je lui dirai : « Vous accusez les démocr
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moins pour débrouiller que pour sensibiliser les
questions
qui tourmentent l’époque. ⁂ Je me suis demandé souvent : quel est le
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e vois pas de réponse satisfaisante à ma deuxième
question
: le fait est là. Pour la première, je puis dire après coup que j’aur
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it, la conception européenne de l’homme. Toute la
question
est de savoir si nous saurons maintenir cet équilibre malgré l’attrac
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donc sans nul cynisme, mais avec sang-froid cette
question
: Notre tristesse et notre angoisse devant un héritage si compromis,
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’avons-nous peur de perdre en vérité ? Cette même
question
, je sais plusieurs Européens qui se la posent en termes tout à fait u
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nos enfants ? Alors paraît comme dénudée par ces
questions
une réponse évidente et simple. Elle tient dans un très petit mot, va
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et il fallait tout de même que ce fût dit ici, la
question
de l’avenir du monde se résume dans ce simple dilemme : la Planète un
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uvait écrire vers la fin de cette période qu’à la
question
: « Si le sel perd sa saveur, avec quoi la lui rendra-t-on ? » ; les
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m’attendait. Il m’entraîne au café. Il avait des
questions
à me poser au sujet d’un de mes livres dont il devra parler au sémina
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l est vrai que j’ai vécu ce que j’écris. C’est la
question
que je préfère. Leur familiarité réchauffe. Chaque soir, à la cafétér
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moins pour débrouiller que pour sensibiliser les
questions
qui tourmentent l’époque. m. Rougemont Denis de, « La jeune littér
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ats politiques. Ces derniers sont centrés sur des
questions
de partis et de partis pris locaux et ancestraux nommés « doctrines »
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sciter dans notre siècle ? Je tourne autour de la
question
. Mais soudain, Einstein m’interrompt et, de son air malicieux et bonh
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l, que cette référence à la Suisse, dès qu’il est
question
d’États-Unis d’Europe ou d’un gouvernement mondial. Rien de plus bana
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ns à peine est venue le fouetter. Brusquement, la
question
se pose de fédérer l’Europe dès la paix rétablie. Mais parce qu’elle
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ie. Mais parce qu’elle se pose brusquement, cette
question
risque d’être mal posée. J’entends qu’elle risque de ne susciter que
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cune selon sa vocation. Ce ne serait pas même une
question
de tolérance, vertu purement négative et qui naît le plus souvent du
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encore, mais vous, qu’est-ce que vous dites de la
question
des Noirs aux États-Unis, hein ? » Ce dialogue de fous n’est pas celu
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ire à leur conclusion naturelle, — reste toute la
question
de la culture américaine dans ses rapports avec « l’esprit », pour pa
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ens exact du mot esprit dans ce contexte. Mais la
question
n’est pas si simple. Car après tout, c’est le goût du public qui fait
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-mille ans qu’il y a des hommes et qui aiment : «
Question
de peaux. » Nous en sommes là. On avancerait un peu en disant : « Que
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en sommes là. On avancerait un peu en disant : «
Question
d’astres. » ⁂ Poète égale superstitieux, parce qu’ils se sentent acco
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pagnés à chaque instant, en tapinois, par la même
question
: c’est à savoir s’ils suivent leur voie ou s’ils l’inventent ? S’ils
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scientes du danger de la guerre moderne. C’est la
question
même de la guerre qui se trouve posée. » Et de la Russie que pense-t-
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re : Vivre en Amérique . Je hasarde pourtant une
question
sur la littérature d’outre-Atlantique. Il me répond : La littérature
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nce un accès progressif aux chefs-d’œuvre ? Autre
question
que je poserai sans la trancher : si l’on reproche aux « condensés »