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d’aujourd’hui, réponde chez les théologiens un «
refus
d’informer » symétrique, fait de méfiance, d’incuriosité, de réprobat
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r représentait exactement, et point par point, le
refus
et la destruction de tous ces éléments — l’anti-Europe. Qu’était-il e
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oisie, dans son ensemble, se contente d’un double
refus
de la Russie et de l’Amérique, se résigne à la décadence, ou la déplo
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ide. C’est la volonté d’unifier qui provoque leur
refus
de s’unir, c’est elle qui excite en eux la volonté morbide de s’enfer
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itanisme au prix d’une frustration de l’âme, d’un
refus
ricaneur du spirituel. Le mot de transcendance les rend malades, leur
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pourrait définir l’attitude fédéraliste comme un
refus
constant et instinctif de recourir aux solutions systématiques, aux p
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entative de traverser une frontière sans visa, le
refus
de servir dans l’armée, la fraude fiscale, ou certaines opinions poli
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et dans les camps. À l’égard de l’Amérique notre
refus
, pour être beaucoup moins brutal, n’est pas moins franc. Nous avons b
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té nationale, qu’ils se cantonnent dans le double
refus
de l’Amérique et de la Russie, qu’ils y ajoutent un troisième refus,
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e et de la Russie, qu’ils y ajoutent un troisième
refus
, celui de l’Europe, jusqu’à ce qu’ils soient dûment colonisés ! » Per
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tion indispensable à tout régime démocratique. Le
refus
sur deux fronts n’est pas une politique. Quand il est autre chose que
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e affirmation centrale, il n’est même pas un vrai
refus
: il ne peut mener qu’à accepter par force ce qu’on a combattu dans l
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léra et qu’ils tiennent la balance égale entre le
refus
du stalinisme et le refus de l’américanisme. Tel est le dialogue qui
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balance égale entre le refus du stalinisme et le
refus
de l’américanisme. Tel est le dialogue qui se poursuit depuis des moi