1 t cependant comment en nier l’importance, dans un siècle où la littérature exerce sur le public cultivé un empire comparable à

2 va-t-on laisser certaine élite intellectuelle du siècle sans nul secours ? Va-t-on lui tourner le dos parce qu’elle est tapag

3 cés », et ne tolère que le mauvais art du dernier siècle  ? Au lecteur convaincu comme moi de la nécessité de rétablir des pont

4 formé la langue des poètes depuis près de quatre siècles , et dont le rôle dans l’histoire des lettres anglaises s’avère capita

5 ophes, cependant, combattaient, passée dans notre siècle à l’action politique au lendemain de la révolution russe, puis sous l

6 es, de nos machines, et de nos armes. Pendant des siècles d’expansion irrésistible, impérialiste ou généreuse, l’Europe a diffu

7 en vérité. L’Europe a dominé le monde pendant des siècles par sa culture d’abord, dès le Moyen Âge, par sa curiosité et son com

8 irituelle. S’il est vrai que l’Europe, jusqu’à ce siècle , ne s’est guère sentie et conçue comme un tout, comme un corps organi

9 mme le firent les requins capitalistes du dernier siècle , il crée dans la cité une anarchie. Cette anarchie ne tarde pas à pro

10 eront à redécouvrir ce que nous savons depuis des siècles , ce qui nous permet donc d’aller plus loin. Ainsi l’Europe construit

11 L’opportunité chrétienne (1947)d Depuis des siècles , depuis la Renaissance, le christianisme a vécu sur la défensive. Les

12 moins en moins — et non de plus en plus, comme au siècle passé — à mettre en doute la vérité et la validité des dogmes chrétie

13 relations humaines viables, comme elle le fit aux siècles sombres, avant la floraison du Moyen Âge, qui fut son œuvre. Il s’agi

14 ie. Je voudrais une sociologie chrétienne pour le siècle . 2° Que l’Église offre un type de relations culturelles viables ; qu’

15 ages » nous disaient les prédicateurs depuis deux siècles . « Soyez fous ! », dit saint Paul aux Corinthiens. « Osez être l’invr

16 evêt une importance politique capitale dans notre siècle  : il peut offrir le modèle même d’une union mondiale dans le respect

17 isciplines praticables, sera vraiment le génie du siècle et l’objet d’une grâce spéciale. Or c’est bien ce qu’il pense être, é

18 ontribué plus que nul autre à susciter dans notre siècle  ? Je tourne autour de la question. Mais soudain, Einstein m’interromp

19 ui objectait que ces arbres-là prennent plus d’un siècle à se développer : « Vous voyez, riposta le maréchal, il n’y a pas une

20 as applicable aux grands. De plus, il a fallu des siècles aux Suisses pour se fédérer, et nous avons besoin de solutions rapide

21 des meilleurs hommes d’État suisses, pendant des siècles . Mais il est non moins certain que cette idée est demeurée informulée

22 enace et une espérance. Cette antithèse domine le siècle . Elle est son véritable drame. Toutes les autres pâlissent devant ell

23 est inscrite dans les faits les plus neufs de ce siècle , les uns techniques, les autres politiques. Si tout le monde ne le vo

24 me soit si clairement inscrit dans les données du siècle et si lisible aux meilleures volontés qu’il ne puisse provoquer d’opp

25 at, préfère se relire en français. Vers la fin du siècle , le vicomte de Vogüé et d’autres condensent le roman russe, l’adapten