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ères et visas, renoncent au dogme meurtrier de la
souveraineté
absolue, créant ainsi une attitude nouvelle, une confiance — ouvrant
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qu’elle impliquerait un renoncement partiel à la
souveraineté
absolue des nations. — Ce serait, lui dis-je en me levant, le premier
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fédérale des nations, renonçant au dogme de leur
souveraineté
absolue, et acceptant sous une forme ou sous une autre, une constitut
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des gouvernements, dans le monde actuel, c’est la
souveraineté
absolue. Tous les États-nations qui se sont arrogé ces droits absolus
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transigeaient un seul instant avec le dogme de la
souveraineté
absolue. L’union, la paix, que la plupart d’entre eux désirent, ne pe
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qu’ils acceptent un jour de renoncer non pas à la
souveraineté
même de leur nation, mais à son caractère absolu. Et c’est l’agitatio
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e veux que nos pays s’effondrent un à un en toute
souveraineté
nationale, qu’ils se cantonnent dans le double refus de l’Amérique et