1
ontre le puritanisme sexuel. On a rejeté tous ses
tabous
. On ne pense plus que la « chair » soit le Mal, ni ses désirs des sig
2
é, qu’ils attribuent naturellement à l’action des
tabous
puritains, refoulés dans l’inconscient, et qui se vengent. Les statis
3
nstinct soient justement les vraies créatrices de
tabous
, et que la suppression de ces derniers, loin de relever d’une dialect