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termittent ? L’ignorance réciproque dans laquelle
théologiens
et écrivains se sont installés pour la plupart, est-elle vraiment san
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4. Certes, je suis le premier à redouter que les
théologiens
se mettent à faire de la critique littéraire, comme il arrive qu’on e
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comme fidèle et comme écrivain, qu’il en parle en
théologien
, et non pas en homme cultivé, en moraliste ou en artiste. Nonobstant
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, j’ai une requête précise à présenter aux jeunes
théologiens
qui me liront. Je voudrais que certains d’entre eux se consacrent à l
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leur époque ; mais ceci, je le répète en tant que
théologiens
, non point en tant qu’écrivains-amateurs ou gens de goût. Sans rien p
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ux disciples de ces mouvements ? Il y faudrait un
théologien
. Lever les bras au ciel, ou pointer le doigt du moraliste, n’est pas
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dénote la culture d’aujourd’hui, réponde chez les
théologiens
un « refus d’informer » symétrique, fait de méfiance, d’incuriosité,
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it rien. Exemple : Kierkegaard. Il ne fut pas un
théologien
au sens strict, mais toute son œuvre manifeste une attitude théologiq
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orable à l’entente ou au conflit significatif des
théologiens
et des écrivains dans une nation donnée. Je me bornerai à citer ici
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insuffisance même, elles incitent quelques jeunes
théologiens
à pousser plus avant dans un domaine que j’espérais simplement désign