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sen, sur Unamuno, sur Rilke, sur Kafka, et sur un
très
grand nombre de poètes, de romanciers et d’essayistes des plus jeunes
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up de conversions, elle n’a pas eu pour effet (ou
très
rarement) l’adhésion des convertis à une Église déterminée. N’est-ce
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ller continue son discours… Soudain : « Je crois,
très
honorés Messieurs, dit Flachs en se levant, je crois que je pleure !
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et l’on se réunissait pour les repas autour d’une
très
longue table que servaient deux ou trois énormes négresses. Wystan Au
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monde est une jungle atomique, l’humanité dans sa
très
grande majorité une espèce animale désordonnée, lubrique, rapace, irr
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ils paraissent, phénomènes hautement improbables,
très
rarement observés sur la planète, et que la presse devrait mettre en
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ns qui vous croisent sont transparents s’ils vont
très
vite ? On ne cesse de voir le paysage au travers.) Ils appartiennent
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aisser la guerre d’Hitler. Ces chances paraissent
très
faibles en vérité. L’Europe a dominé le monde pendant des siècles par
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s opposées. Je le répète, nos chances paraissent
très
faibles dans l’ensemble, malgré les illusions de santé et de durée qu
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s par la guerre. Voici le moment de nous demander
très
sérieusement si, dans cette conjoncture plus que défavorable, il est
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ne réponse évidente et simple. Elle tient dans un
très
petit mot, vague et poignant : c’est le mot « âme ». L’Europe absente
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changement de point de vue va nous faire voir une
très
solide réalité spirituelle. S’il est vrai que l’Europe, jusqu’à ce si
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s, c’est poser aux Églises chrétiennes un dilemme
très
net : il ne leur reste plus qu’à s’endormir, ou bien à passer à l’att
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es de l’Europe peuvent être définies comme un jeu
très
complexe opposant un ensemble de règles sociales communément respecté
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re qu’une passion véritable, car elle suppose une
très
grande force d’imagination créatrice ; des dispositions spirituelles
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staurant, ou dans un train. Vous verrez une femme
très
soignée — son ménage simplifié lui en laisse le temps —, ornée de que
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ette éventualité, d’ailleurs, doit être envisagée
très
sérieusement. Chaque jour dans les courriers mondains annonçant les m
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n bail de « trois-six-neuf ». Une jeune héritière
très
connue déclarait à un groupe de journalistes qui la félicitaient sur
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». Le danger n’est sans doute pas là. Car il est
très
possible qu’au contraire de ce que pensent la jeunesse américaine et
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me répond au bout d’une semaine : votre livre est
très
bien, je voudrais le publier, mais il a le malheur de porter sur les
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pilon tous les exemplaires restants ? — J’imagine
très
bien ! Mais le public est simpliste, il attend des jugements entiers.
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ffe. Chaque soir, à la cafétéria, — un restaurant
très
bon marché où l’on doit se munir d’un plateau, de services et d’assie
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ux et difficile à obtenir parce que le dollar est
très
cher. On ne peut pas « se débrouiller » avec moins qu’il ne faut. Et
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sous le bras une longue boîte noire, d’où sort un
très
jeune chien tremblant. C’est un boxer qu’il baptise Annibal. Je lui a
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et l’on se réunissait pour les repas autour d’une
très
longue table que servaient deux ou trois énormes négresses. Wystan Au
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ici soudain devant moi. Souriant de ses gros yeux
très
vifs sous des arcades sourcilières étrangement élevées, un énorme nez
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s des épaules épaisses. Il porte un chandail bleu
très
ample, un pantalon de flanelle sans pli et des sandales. C’est le cos
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u répéter ces derniers temps qu’Einstein serait «
très
communiste », expression qu’on réserve d’ailleurs aux personnes dont
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plus simple du « rideau de fer ». Les Russes sont
très
pauvres. C’est pour cela qu’ils ont si peur des étrangers. Et non san
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ai publié La Part du diable et m’en vais sortir
très
prochainement Journal des deux mondes , dont la Guilde du Livre a dé
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en comprise et que la presse n’a pas toujours été
très
tendre à notre égard. De cette influence, nous ne donnerons qu’un exe
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que nous pouvons les observer et les contrôler de
très
près dans une expérience bien connue : celle de la Confédération helv
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’assez courte durée, et en dépit d’une opposition
très
importante dans la population, doublée d’un scepticisme assez général
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toutes les grandes idées, l’idée fédéraliste est
très
simple, mais non pas simple à définir en quelques mots, en une formul
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que l’exemple de la vie politique suisse illustre
très
clairement. En effet, les mots fédération et fédéralisme sont compris
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tion et fédéralisme sont compris de deux manières
très
différentes par les Suisses alémaniques et par les Suisses romands. E
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sme, qu’ils l’ignorent, et qu’ils ne touchent que
très
rarement, et très vaguement, à l’idée fédéraliste en soi. C’est peut-
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rent, et qu’ils ne touchent que très rarement, et
très
vaguement, à l’idée fédéraliste en soi. C’est peut-être parce que cet
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tout à l’heure, est à la fois simple à sentir et
très
délicate à formuler. Mais c’est peut-être aussi, et plus probablement
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le résoudre en quelques lignes, et je ne vois pas
très
bien, je l’avoue, quel sens aurait ici une « prise de position ». (Av
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ou, et son guide soviétique l’invite à admirer. «
Très
beau, dit notre Américain, mais je ne vois pas de trains circuler ? »
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femme qui en est l’auteur qu’il jugeait l’ouvrage
très
mauvais, mais l’acceptait comme très vendable. Qu’il y ait là une dég
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it l’ouvrage très mauvais, mais l’acceptait comme
très
vendable. Qu’il y ait là une dégradation de l’esprit, je pense que to
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ette occasion pour formuler quelques observations
très
simples qu’il suffit de grouper pour qu’elles parlent clairement, et
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ous n’approuvons pas, pour des raisons d’ailleurs
très
inégales. L’un est collectiviste, l’autre individualiste. Dans notre
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streint, les symboles efficaces en nombre limité.
Très
grand génie, celui qui pourrait en créer un seul nouveau ! Dans les j
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’avança vers moi, souriant de ses gros yeux bleus
très
vifs sous des arcades sourcilières étrangement élevées, un énorme nez
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s ou à leurs députés. L’URSS possède une doctrine
très
précise dont elle se sert comme d’un instrument de conquête et qui di
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un pays à toutes les influences du monde, et sait
très
bien que sa propre santé dépend de celle des autres, et non de leur m
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moins que nous. Au reste, ces « condensés » sont
très
loin de jouer dans l’édition américaine le rôle exorbitant que nous l