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, l’été dernier, et plus que jamais frappé par ce
trait
national — le seul sans doute, chez nous, qui mérite l’adjectif —, je
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e. Sur son visage et dans son expression certains
traits
accusés et tendus, mais aussi une certaine anxiété, peut-être une las
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er. Avant même que l’on puisse détailler tous ses
traits
, on en reçoit une impression d’ensemble que je traduirai par ces mots
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Admirable libération ! Insistons fortement sur ce
trait
: le fanatisme d’aujourd’hui n’est plus religieux, mais politique. L’
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es — sinon eux du moins leurs enfants. Un dernier
trait
: l’Europe, surtout si on la compare aux deux empires séparés d’elle,
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se européenne. Essayons de le définir en quelques
traits
. Perte du sens tragique de l’amour ; réalisme scientifique et quelque
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e photo, encore était-elle prise de dos. (Mais ce
trait
justement le révélait.) Penché à un balcon d’hôtel, au haut d’une tou
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personnes fédérées. Ayant ainsi esquissé à grands
traits
la conception de l’homme sur laquelle nos travaux doivent se fonder e
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r sur table rase, de simplifier les réalités d’un
trait
de plume, de tirer des plans à la règle, dans un bureau, et de forcer
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la vie américaine ont coutume d’insister sur deux
traits
de cette culture qui leur paraissent foncièrement déplaisants : la di
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lle était Américaine ? À l’époque, on vit dans ce
trait
une exagération de l’esprit français. À lire les plaintes ou les diat