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xposé. De mon temps, les gens bien voyageaient en
troisième
, les gens chic parfois en seconde, et je ne savais rien des premières
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commun. Presque toujours elles étaient vides. En
troisième
on retrouvait, comme j’ai dit, les gens bien, gracieusement mêlés au
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ette classe n’est pas curieux, comme les gens des
troisièmes
, des menus incidents du trajet. On sent bien qu’il a l’habitude. On d
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ment parce qu’il n’y avait plus de place dans les
troisièmes
: ils ont l’air trop contents d’être là, on les refoule. J’ai cru rem
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e des esprits libres. Je me décide à regagner les
troisièmes
. Mais il faut traverser un couloir de premières. Et je m’arrête, fasc