1 1947, Articles divers (1946-1948). La lutte des classes (1947)
1 xposé. De mon temps, les gens bien voyageaient en troisième , les gens chic parfois en seconde, et je ne savais rien des premières
2 commun. Presque toujours elles étaient vides. En troisième on retrouvait, comme j’ai dit, les gens bien, gracieusement mêlés au
3 ette classe n’est pas curieux, comme les gens des troisièmes , des menus incidents du trajet. On sent bien qu’il a l’habitude. On d
4 ment parce qu’il n’y avait plus de place dans les troisièmes  : ils ont l’air trop contents d’être là, on les refoule. J’ai cru rem
5 e des esprits libres. Je me décide à regagner les troisièmes . Mais il faut traverser un couloir de premières. Et je m’arrête, fasc
2 1947, Articles divers (1946-1948). Les maladies de l’Europe (1947)
6 caliers ni vous asseoir dans les fauteuils… » Ma troisième raison d’espérer, ce sont les crises qu’il faut prévoir dans les deux
3 1947, Articles divers (1946-1948). La guerre des sexes en Amérique (janvier 1947)
7 pasteurs, les magnats du cinéma. Ce « tonitruant troisième sexe » dérobe aux jeunes femmes — selon le même auteur — « cette part
4 1947, Articles divers (1946-1948). L’attitude fédéraliste (octobre 1947)
8 fois de respecter, et d’articuler dans un tout. Troisième principe. — Le fédéralisme ne connaît pas de problème des minorités.
5 1947, Articles divers (1946-1948). Une Europe fédérée (20 décembre 1947)
9 éplaise aux sectaires de tous bords. La véritable troisième force, ce n’est pas je ne sais quel groupement de doubles négations e