1 ge. Comme il n’y a pas de place en Suisse pour un véritable voyage, on s’en tire en coupant le milieu, ce remplissage de kilomètr

2 par les dimensions mêmes de l’État au classicisme véritable , celui qui exprime le tout en disant le moins, et qui témoigne de l’i

3 livre récent : Rien de plus rare qu’une passion véritable , car elle suppose une très grande force d’imagination créatrice ; des

4 ates et profondes, mais qui n’ont pas trouvé leur véritable objet ; un pouvoir exceptionnel de concentration, c’est-à-dire de fid

5 t : — Écoutez-moi bien, c’est la seule démocratie véritable . Les gens d’ici sont cordiaux, serviables et surtout ils sont dépourv

6 t tort, parce qu’ils n’ont qu’à moitié raison. Le véritable fédéralisme ne consiste ni dans la seule union des cantons, ni dans l

7 mment rappeler aux deux partis que le fédéralisme véritable n’est ni dans l’une ni dans l’autre de ces tendances, mais bien dans

8 ie conquise, est résulté la constitution de 1848, véritable base de l’État fédératif moderne. C’est pourquoi la Suisse ne verra j

9 qu’à l’unification forcée, caricature de l’union véritable . Deuxième principe. — Le fédéralisme ne peut naître que du renonceme

10 e. Cette antithèse domine le siècle. Elle est son véritable drame. Toutes les autres pâlissent devant elle, sont secondaires ou i

11 ce, n’en déplaise aux sectaires de tous bords. La véritable troisième force, ce n’est pas je ne sais quel groupement de doubles n