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mais le débat central reste théologique, qu’on le
veuille
ou non, qu’on l’admette comme Bergson vers la fin de sa carrière, qu’
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résenter aux jeunes théologiens qui me liront. Je
voudrais
que certains d’entre eux se consacrent à l’examen, à la critique et m
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, des Amériques depuis longtemps colonisées. Qui
voudrait
nous écrire une histoire des principales écoles modernes d’un point d
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de l’arianisme et du libéralisme romantique. Qui
voudra
et pourra l’expliquer aux disciples de ces mouvements ? Il y faudrait
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ouble infraction aux grâces de l’esprit (comme je
voudrais
nommer les lois spirituelles), répond un châtiment dont on croit devi
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branche ne s’écartant de lui qu’à l’instant où il
veut
les atteindre, et tout cela ne tient vraiment qu’à lui, qu’aux dispos
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, comme la branche chargée de fruits. Si un homme
veut
la Vie éternelle par seule crainte de mourir à cette vie temporelle,
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conclusion, sans trouver une solution. L’Européen
veut
prendre conscience du drame qui se joue en lui, qui se joue en chaque
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istingue de l’Européen, court à la conclusion. Il
veut
une solution pratique, autant que possible. Mais il est capable, aprè
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u, que l’esprit puisse y souffler librement où il
veut
. c. Rougemont Denis de, « [Entretien] Genève, rose des vents de l’
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e appelle sa première sonate : Cette chose que je
veux
, je ne sais pas quoi. Je pense qu’on est en droit de parler ici d’un
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u devais t’y attendre, compte mes rides, et si tu
veux
m’aimer, regarde bien d’abord qui je suis devenue ! » Ensuite on se p
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e » nous livrent le secret de l’opposition que je
voudrais
vous faire sentir. Pour eux la vie se résume en deux opérations : pro
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t nous à la conscience à n’importe quel prix. Ils
veulent
la vie, nous des raisons de vivre, même mortelles. Voilà pourquoi l’E
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us, répond mécaniquement un excès d’étatisme. Qui
veut
faire l’ange, ou le démon, fait la bête et voici qu’on l’enferme aujo
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plus irréductible. Le fédéralisme, au contraire,
veut
unir et non pas unifier. Et justement parce qu’il respecte à l’intéri
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ans, en effet, sont fondés sur une méconnaissance
voulue
, systématique, de la complexité de l’homme total. Ils ne sont que des
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utiles, mais qui ne sont jamais règles de vie. Je
voudrais
une sociologie chrétienne pour le siècle. 2° Que l’Église offre un ty
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ne seront point trop différentes de celles que je
voudrais
dégager d’un séjour de six ans en Amérique. Les mœurs sexuelles de l’
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out d’une semaine : votre livre est très bien, je
voudrais
le publier, mais il a le malheur de porter sur les années 1935 et 193
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porter sur les années 1935 et 1936. Or le public
veut
de l’actualité. Le second m’a fait venir ce matin : — En tant que cit
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co et de leurs régimes « d’avenir »… Celui qui ne
veut
pas croire au diable travaille fatalement pour lui. Cambridge (Mass.)
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il devra parler au séminaire de littérature. Que
veut
-il donc savoir ? Simplement si c’est vrai. S’il est vrai que j’ai véc
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reaux presque déserts. Téléphone de Bernstein, il
voudrait
bien savoir un peu ce qui se passe… « N’êtes-vous pas l’auteur du Sec
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s un paysage de forêts et d’îles tropicales. « Je
voulais
une cabane et c’est le Palais de Versailles ! » s’est écrié Tonio bou
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aris. Cependant nous vivons au xxe siècle, et je
voudrais
un style qui supporte le transport. Les choses que l’on publie, si el
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t, il faut commencer par être un monstre, si l’on
veut
mériter quelque maîtrise. Toute création est en soi monstrueuse, qu’i
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en faveur de notre pays. Il est trop modeste pour
vouloir
nous l’avouer, mais il s’est fait l’ardent défenseur de nos instituti
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à promouvoir un certain type d’humanité, qu’on le
veuille
ou non, qu’on le sache ou non. Quelle est donc la définition de l’hom
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rit tout au moins. Si nous en parlons, si nous le
voulons
, c’est que nous savons que l’homme est un être doublement responsable
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on, cette dialectique, cette bipolarité, comme on
voudra
, qui est le battement même du cœur de tout régime fédéraliste. L’oubl
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ment de l’histoire où le fédéralisme suisse, s’il
veut
durer, doit devenir à son tour missionnaire. Telle est sa crise : ou
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rope qui les poussera. De cette agitation, que je
voudrais
baptiser la Nouvelle Résistance européenne, nous nous sommes déclarés
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l, ou l’ait même nommé dans un code. De quoi donc
voudrait
-on le libérer ? L’amour a toujours été libre. Bien plus, l’amour est
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ain ait encore puisée dans son pays » ; 2° Truman
veut
asservir l’Europe au dollar ; 3° Donc Truman impose à l’Europe la lec
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est exercée en deux occasions plus marquantes, je
veux
parler de 1917 et de 1942, et alors elle fut bien le fait de la volon
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l’Europe ? » Je réponds qu’il s’agit plutôt de la
vouloir
. « Mais pourquoi, me dit-on, faudrait-il la vouloir ? » Je réponds qu
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uloir. « Mais pourquoi, me dit-on, faudrait-il la
vouloir
? » Je réponds qu’il n’y a qu’à regarder l’Europe, qu’à faire son bil
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ait politique des deux empires, qui ont un air de
vouloir
se partager le monde. En 1939 il y avait en présence l’Allemagne et l
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remlin ni celle du businessman américain. Nous ne
voulons
pas d’un régime de terreur, de parole asservie, d’épuration à froid,
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arteau (c’est le nom choisi par Molotov). Nous ne
voulons
pas de la dictature d’un seul parti ; qui ne représente qu’un quart d
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er d’opposition foncière. Qui oserait dire : « Je
veux
une Europe désunie ! Je veux que nos rivalités se perpétuent ! Je veu
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oserait dire : « Je veux une Europe désunie ! Je
veux
que nos rivalités se perpétuent ! Je veux que nos pays s’effondrent u
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ie ! Je veux que nos rivalités se perpétuent ! Je
veux
que nos pays s’effondrent un à un en toute souveraineté nationale, qu
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t la manière stalinienne de dire que la Russie ne
veut
pas la paix de l’Europe. Invités aux congrès fédéralistes, les commun
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romper ? Ils donnent des mitraillettes à ceux qui
veulent
du pain, une discipline aveugle à ceux qui cherchent un ordre, et le
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e et inventer l’avenir. C’est le fédéralisme, qui
veut
que la Terre promise ne soit pour nous ni l’Amérique ni la Russie, ma
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préoccupations, se tient la personne humaine ; ne
voulut
-il pas instaurer une Politique de la personne ? Et, pour mieux préc
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ommunauté qui oblige les écrivains à s’engager, à
vouloir
surmonter cette situation intenable… Sartre vient de se lever pour so
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créer. Ils n’ont encore rien à dire, ou ce qu’ils
voudraient
exprimer est encore imprécis. Ceux qui élèvent la voix, les hommes de
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ve d’unir les nations de l’Europe : c’est qu’elle
veut
diviser pour régner. Les États-Unis, au contraire, poussent à la coll
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enne, et surtout sur le plan économique. Ils nous
veulent
forts, donc autonomes. Les communistes, dans chaque pays, sabotent no
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but que de masquer ce fait brutal : la Russie ne
veut
pas d’une Europe forte, c’est-à-dire d’une Europe unie et autonome ;
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st-à-dire d’une Europe unie et autonome ; elle ne
veut
qu’une Europe livrée à sa merci par les rivalités nationalistes et la
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ndensed (from…), il semble que nos éditeurs aient
voulu
souligner le caractère américain de leur entreprise, et donner à cell
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, faite sur un roman non terminé, et que l’auteur
voulait
détruire, ne court-il pas les mêmes dangers que s’il était « condensé