1
ivaux. L’helvétisation signifierait l’intégration
fédérale
des nations, renonçant à leur souveraineté absolue au profit d’une co
2
et égard. En termes d’histoire suisse, notre État
fédéral
avec ses cent ans d’existence représente déjà une tradition ; nous po
3
la planète. D’où il résulte que notre expérience
fédérale
ne représente guère que la dernière minute dans l’heure qu’aurait dur
4
s, les autres donnent un nouvel arbre. Notre État
fédéral
mourra, certes, lui aussi, ainsi que meurent tous les États. Mais peu
5
e. Le dilemme revient à ceci : ou bien notre État
fédéral
, après un siècle et demi ou deux, disparaîtra tout comme une autre Ré
6
iquement suisses de la mise en pratique de l’idée
fédérale
. On a tort s’il s’agit de l’idée elle-même. Une expérience de laborat
7
traduit pas seulement dans le mode d’élection du
Conseil
des États, mais surtout, et d’une manière beaucoup plus efficace, dan
8
ogerie fine que composent nos rouages, communaux,
fédéraux
, cantonaux, si diversement engrenés, il convient de leur montrer que