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le se perdra, certes, mais pour revivre magnifiée
aux
dimensions continentales. ⁂ Quand on cite l’exemple helvétique, à pro
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bon pour un petit pays, mais n’est pas applicable
aux
grands. » On a raison s’il ne s’agit que des modalités typiquement su
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comme un refus constant et instinctif de recourir
aux
solutions systématiques, simples de lignes, claires et satisfaisantes
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aires comme des créations de l’esprit, insensible
aux
défis toujours renouvelés de la réalité toujours mouvante, — bref, ho
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nce l’autorité que nous retirons à la religion et
aux
morales qui en dérivent. La conception du monde la plus courante aujo
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amendes ou des peines de prison ont été infligées
aux
pères d’enfants absents plusieurs samedis de suite. D’innombrables dé
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i que l’État de Genève accorde le congé du samedi
aux
israélites, adventistes, etc., qui le demandent pour motif religieux,
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s’obstiner sur une question de numéros attribués
aux
jours de la semaine, et qu’enfin tout cela ne mérite pas trop d’indig
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d’abord de sauver des millions d’innocents jetés
aux
camps de concentration ou aux travaux forcés. Remarquons tout d’abord
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s d’innocents jetés aux camps de concentration ou
aux
travaux forcés. Remarquons tout d’abord que le nombre, ici, ne fait r
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t sacrifier des droits humains à l’opportunité ou
aux
intérêts du grand nombre, et l’on sait aujourd’hui où cela peut condu
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utant à la liste des « motifs légitimes d’absence
aux
cours » le fait d’appartenir à certaines religions, sectes ou confess
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it pas une affaire que d’ajouter quelques clauses
aux
milliers d’autres, utiles ou non, qui s’accumulent dans nos codes. Si
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» pour la vaincre. ⁂ J’en reviens à la méthode et
aux
moyens d’action. Aux impatients qui rêvent d’unifier le genre humain
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J’en reviens à la méthode et aux moyens d’action.
Aux
impatients qui rêvent d’unifier le genre humain dans les quinze jours
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e européenne, c’est-à-dire d’un pouvoir supérieur
aux
États. Cette Cour suprême doit être la gardienne d’une Charte des dro
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ci : « Nous ne pouvons que souhaiter bonne chance
aux
courageux pionniers du fédéralisme. » C’est une manière de dire : « A
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n des hommes, des idées et des biens ». ( Message
aux
Européens , congrès de La Haye.) L’Europe est une culture qui est fai
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, le Centre européen offrira un lieu de rencontre
aux
porteurs et aux créateurs de la culture occidentale, afin qu’ils puis
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péen offrira un lieu de rencontre aux porteurs et
aux
créateurs de la culture occidentale, afin qu’ils puissent examiner en
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e chose vague. C’est lui qui nous empêche de dire
aux
Russes : « Finissons-en, venez nous mettre au pas, et supprimons cet
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u du progrès. Mais nous voulons d’une part offrir
aux
forces culturelles de toute l’Europe les moyens pratiques de « s’enga
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icile, pour le moment, notre pleine participation
aux
conseils politiques du continent. Et pourtant, nul ne songe à défendr
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es destinées. Comment pourra-t-il donc participer
aux
efforts pour sauver l’Europe ? La réponse ne peut faire de doute. Tan
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te d’affirmer que l’Économie obéit beaucoup moins
aux
« lois » fatales admises par le xixe siècle qu’elle ne traduit dans
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lle dont les suites nécessaires nous ont conduits
aux
impasses présentes. Nous vivons, depuis 1920, sous le règne effectif
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faire l’Europe ». C’est qu’ils sont déjà fédérés.
Aux
unionistes, je tiendrai ce langage : Vous dites, messieurs, qu’il fa
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nsciemment, — l’Europe est en train de se faire !
Aux
yeux d’un esprit objectif, toutes les conditions de la ruine sont réu
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peuples. Enfin, l’indifférence écœurée, l’abandon
aux
fatalités de l’histoire, se voient combattus par l’élan vers l’union,
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uvent voilée par cette indifférence qui fait dire
aux
troupiers : « Il ne faut pas chercher à comprendre. » Il y a aujourd’
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toriques : pourquoi l’Europe ? qu’a-t-elle à dire
aux
hommes ? quels sont ses droits humains et spirituels à l’existence in
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des livres qu’il publie, ni à leur diffusion, ni
aux
entraves qu’elle rencontre partout aujourd’hui — et voilà nos problèm
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une synthèse provisoire, en guise d’introduction
aux
travaux de la conférence. Précisons bien que ce rapport n’est pas un
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l’une consacrée au problème des échanges, l’autre
aux
institutions à développer ou à créer, les problèmes non techniques re
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es non techniques restant, bien entendu, réservés
aux
débuts de l’ensemble du congrès, siégeant en commission générale. Il
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rd, il me paraît que certaines expressions chères
aux
experts et aux documents officiels, seraient propres à nous égarer. O
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t que certaines expressions chères aux experts et
aux
documents officiels, seraient propres à nous égarer. On parle beaucou
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sant, à force d’avoir servi d’échappatoire facile
aux
fonctionnaires chargés (bien malgré eux, souvent) des problèmes réput
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éateurs ou novateurs, ceux qui font le moins peur
aux
fonctionnaires, ceux qui en un mot, ont l’âme naturellement officiell
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’unité de notre culture : elle existe, elle était
aux
origines, elle n’a cessé depuis de se reformer et de s’enrichir de mi
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de serrer de plus près la question. Il a conduit
aux
conclusions pratiques dont l’exposé détaillé se trouve dans le rappor
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it bien clair que nous n’entendons pas substituer
aux
nationalismes locaux une sorte de nationalisme européen. L’Europe s’e
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c pas, pour nous, d’opposer une nation européenne
aux
grandes nations de l’Est et de l’Ouest ; ni de vouloir une « culture
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nsables. Il leur incombe de rappeler sans relâche
aux
gouvernants, comme aux législateurs sociaux et aux experts, qu’un cer
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e de rappeler sans relâche aux gouvernants, comme
aux
législateurs sociaux et aux experts, qu’un certain nombre de principe
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ux gouvernants, comme aux législateurs sociaux et
aux
experts, qu’un certain nombre de principes moraux ne sauraient être n
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Dans son remarquable rapport qui a servi de base
aux
travaux de la Commission de l’enseignement et de l’éducation (NDLR).
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, que le Conseil de l’Europe équivaut peu ou prou
aux
États-Unis d’Europe. Bien plus, montrez-nous une seule déclaration qu
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pris leur métier de nos maîtres, dans nos écoles,
aux
terrasses des cafés de Paris, ou par nos livres. ⁂ Je dirai plus. Le
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aient, de ma génération. (D’où quelque résistance
aux
poèmes qui suivirent. Un jeune amour veut son objet incomparable.) Be
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De l’Atlantique au Pacifique, des Pères pèlerins
aux
savants atomistes, les allusions précises ne manquent point : l’Audub
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résence humaine ; et d’un agrandissement de l’œil
aux
plus hautes mers intérieures ». Le poème ainsi prend sa source au lie
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nt, de ville en ville, de fleuve en fleuve, court
aux
plus vastes houles de la terre… Congénialité du poème et de cette Am
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n plein midi, l’autre guette une obscure présence
aux
crépuscules spirituels ; l’un se veut prince, et l’autre moine-mendia
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nde — ô monde entier des choses — et qui vivaient
aux
crêtes du futur… Au chant des hautes narrations du large… Le pluriel
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il semblera surprenant qu’un Français ait ouvert
aux
Américains les perspectives de l’épopée globale que l’histoire désorm