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roduit des preuves que vos superstitions seraient
bien
en peine de réfuter ou d’égaler. Elle guérit ! Elle invente des machi
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moteur. Nous vous laissons à vos enfantillages. —
Bien
, dis-je, la preuve que la science n’est pas folle, c’est qu’elle nous
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certains objets neufs ; 3. aller plus vite est un
bien
en soi. La vitesse accrue est à nos yeux la preuve que la science jo
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xcès de variété qui l’entretient. De fait, il est
bien
difficile de décider si la monotonie crée plus d’ennui que la multipl
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ou les chutes du Niagara ne m’ennuient pas, mais
bien
la traversée d’une grande ville inconnue. Ce qui provoque l’ennui, da
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(On ne peut pas s’ennuyer dans une tempête, mais
bien
dans un appartement climatisé.) À ce challenge en quelque sorte négat
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et de la liberté qui est en définitive notre vrai
bien
commun. C’est en elle que nous possédons notre unité la plus profonde
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elle l’éduque ; elle en donne le sens. Or il est
bien
typique de l’Europe, aujourd’hui, que la culture ainsi comprise y soi
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y aura l’Europe, l’effet d’un dialogue permanent,
bien
souvent dramatique, parfois tragique, entre plusieurs doctrines ou pl
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serait l’impérialisme d’une seule nation. Il est
bien
clair que ni la droite, ni la gauche, ni le centre, aujourd’hui, ne s
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certaines de nos alliances tactiques. Ils veulent
bien
faire l’Europe, ils veulent bien faire la paix, mais à une condition
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ues. Ils veulent bien faire l’Europe, ils veulent
bien
faire la paix, mais à une condition : c’est que M. Churchill n’en soi
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ogues. « Exceptions négligeables » J’entends
bien
ce que vous disent les gens pressés : qu’il ne s’agit que de cas fort
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les décrivent dans le détail des centaines de cas
bien
plus rares que celui de nos adventistes. Les lois fiscales, les lois
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yances, m’a paru propre à illustrer d’une manière
bien
précise le problème général de la liberté religieuse à l’école. Parce
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que les choses se passent en France et c’est très
bien
: c’est très européen… La voici donc en pleine actualité. Tout le mon
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sommes pas une autre école, nos buts finaux sont
bien
les mêmes. Mais vos discours, mes chers amis, nous les prenons au mot
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font 4 : tout cela va vers une guerre qui risque
bien
d’être enfin la dernière, parce qu’elle laissera peu de monde pour en
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eux ? Quelle unité voyez-vous dans tout cela ? Eh
bien
, c’est simple : tous ces gens partagent le même sort, le sort de l’Eu
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dire : à l’information de la masse. Car on aurait
bien
tort de croire que Vichinski peut, à lui seul, faire tout le travail
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n européenne. ⁂ Il est une phrase que je voudrais
bien
ne plus entendre, pour l’avoir lue dans une centaine de comptes rendu
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loin vos efforts, et si vous gagnez par miracle,
bien
entendu, nous vous rejoindrons, nous en serons tous… » Il y a ceux qu
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certaines de nos alliances tactiques. Ils veulent
bien
faire l’Europe, ils veulent bien faire la paix, mais à une condition
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ues. Ils veulent bien faire l’Europe, ils veulent
bien
faire la paix, mais à une condition : c’est que M. Churchill n’en soi
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us donnerons notre nom — mais sans rien déchirer,
bien
entendu. Ce qu’il nous faut, disent-ils, ce sont des apôtres ! En ave
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uoi ne seriez-vous pas le premier ? Diogène avait
bien
tort quand il cherchait un homme à la lueur de sa lanterne. Il eût mi
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lture désormais universelle sont menacés. Pour le
bien
comme pour le mal, ce qui est sorti de l’Europe est sorti de l’esprit
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l ne s’agissait que de cela, nous pourrions aussi
bien
nous laisser coloniser par les Yankees ou annexer par les staliniens.
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la libre circulation des hommes, des idées et des
biens
». ( Message aux Européens , congrès de La Haye.) L’Europe est une cu
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ute sa grandeur venait de sa culture, qui pour le
bien
comme pour le mal, avait créé ses richesses et sa science, ses machin
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ui donner une âme passe au premier plan. Et c’est
bien
cela, c’est bien l’âme du Mouvement, que doit devenir le Centre europ
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passe au premier plan. Et c’est bien cela, c’est
bien
l’âme du Mouvement, que doit devenir le Centre européen de la culture
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ns après la fin de la guerre. Prise de conscience
bien
typique, on le voit, d’une situation pré-fédérale, pour peu qu’une vo
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aines ou décisions fondamentales. Déterminante en
bien
des cas, elle apparaît elle-même déterminée par une certaine orientat
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tourner en rond, mais d’avancer. Qu’on m’entende
bien
: je ne défends pas ici (ce n’est pas le lieu, ni mon goût) une secte
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nt nous allons parler ! « Qu’est-ce que cela peut
bien
me faire ? dit le poète. Cela ne m’aide pas à trouver une image… » Ce
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ou à créer, les problèmes non techniques restant,
bien
entendu, réservés aux débuts de l’ensemble du congrès, siégeant en co
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uestion des échanges. — La situation présente est
bien
connue. Les congressistes auront vite dressé la liste des obstacles d
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« d’échanges culturels », avouons-le, est devenu
bien
déplaisant, à force d’avoir servi d’échappatoire facile aux fonctionn
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d’échappatoire facile aux fonctionnaires chargés (
bien
malgré eux, souvent) des problèmes réputés « secondaires » de la cult
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ts concernant les voyages de quelques professeurs
bien
vus des pouvoirs, de quelques boursiers bons élèves ; et quelques phr
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lques boursiers bons élèves ; et quelques phrases
bien
plates sur l’indispensable solidarité de nos nations. Une hypocrisie
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anges n’a pas suffi à réduire les nationalismes ;
bien
au contraire, c’est elle qui, par la suite, a succombé devant leurs e
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illeurs spécifiquement « européenne ». Qu’il soit
bien
clair que nous n’entendons pas substituer aux nationalismes locaux un
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nt là » ; que la Grèce n’en fait pas partie, mais
bien
« et de toute évidence » les USA ; que M. Spaak est un de nos « doctr
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ssi de Staline.) 2° « Les États-Unis d’Europe… Eh
bien
, il paraît qu’ils sont là !… » Je ne sais qui vous l’a dit, mais c’es
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ope équivaut peu ou prou aux États-Unis d’Europe.
Bien
plus, montrez-nous une seule déclaration qui exprime la satisfaction
48
lé de l’Europe avec une vague idée qu’elle ferait
bien
de s’unir. Il y a des gens qui appellent surréaliste tout écrit qu’il
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njure de croire que vous trouvez que tout va très
bien
ainsi, ou que vous pensez que nos patries pourront durer rien qu’en s
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peut être appelé une création européenne. Pour le
bien
comme pour le mal, il imite à la fois nos mœurs et nos objets, nos pr
51
n jour, découvrira son épopée. ⁂ Vents me paraît
bien
plus américain qu’Anabase n’était asiatique. J’y verrais même la meil