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s entendre, pour l’avoir lue dans une centaine de
comptes
rendus de nos réunions et de nos congrès, et c’est celle-ci : « Nous
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dans nos pays. Tout le monde se rend parfaitement
compte
que l’avenir de l’union européenne dépend en premier lieu de la créat
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te à faire, comme chacun sait. (J’ajoute qu’on ne
compte
à Strasbourg qu’une trentaine de fédéralistes sur cent-un députés.) 3
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s filaient entre les doigts — grands virements de
comptes
et glissements sur l’aile. L’apposition me semble offrir ici l’équiv
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route et la terre des hommes, prêts à rendre nos
comptes
« d’hommes nouveaux, — d’hommes entendus dans la gestion humaine, non