1 1948, Articles divers (1948-1950). Pourquoi l’Europe ? (25 décembre 1948)
1 ntral de l’Union européenne des fédéralistes, une conférence en Sorbonne. Les extraits que l’on va en lire montrent à quel point l
2 1949, Articles divers (1948-1950). Commencer par l’Europe (février 1949)
2 train d’aboutir à certains résultats concrets. La Conférence des Cinq va peut-être accepter notre plan de Parlement européen. Cett
3 1949, Articles divers (1948-1950). L’Europe ou le cap du destin (1949)
3 e Bureau d’études met au point le programme d’une conférence de la culture, qui doit se tenir fin octobre à Lausanne. Des rapports
4 1949, Articles divers (1948-1950). « Le promoteur de l’émission Demain l’Europe nous dit… » (1er juillet 1949)
4 tera de différents pays. Je prépare également une conférence culturelle européenne qui aura lieu, en octobre, à Lausanne. Ce qui m
5 1949, Articles divers (1948-1950). Le Centre européen de la culture aura son siège en Suisse (7 juillet 1949)
5 os cultures : telle sera la double ambition de la Conférence culturelle, qui doit se réunir à Lausanne au mois d’octobre, sous les
6 e siège du Centre européen de la culture et de la Conférence culturelle, cela ne relève ni du hasard ni de considérations touristi
6 1950, Articles divers (1948-1950). Raisons et buts d’une conférence (janvier 1950)
7 Raisons et buts d’une conférence (janvier 1950)n o La condition profondément contradictoire dans la
8 lant des masses, l’Assemblée de Strasbourg, cette conférence de la culture. Je parle d’un espoir tremblant. Le sentiment le plus r
9 la communauté européenne. Tel est le but de cette Conférence . Ce qu’on attend de nous ici, c’est d’abord une réponse à la question
10 pourrait discuter sans fin sur le titre de cette Conférence . Les mots européen, culture, prêtent à des controverses trop faciles.
11 mission de leurs principes. Je souhaite que notre Conférence s’interdise les débats académiques auxquels prêtent ces définitions.
12 ondent qu’ils ont un rhume, qu’ils ont promis une conférence . D’autres invoquent un besoin subit de se retirer pour méditer. Regre
13 isoire, en guise d’introduction aux travaux de la conférence . Précisons bien que ce rapport n’est pas un instant destiné à faire l
14 ant destiné à faire l’objet des discussions de la conférence . Il en introduit les sujets. Il veut servir d’exposé des motifs à la
15 tés qu’a rencontrées la préparation même de cette conférence , et que ses insuffisances inévitables dans l’état actuel des choses.
16 Le besoin est donc reconnu, les plans sont là. La Conférence décidera du sort qu’il faut leur réserver. Il en va de même pour le C
17 ulement, mais importants. La préparation de cette Conférence , l’abondance et la qualité des rapports reçus sur les questions d’édu
18 arbares, que de nous être aussi mal civilisés. La Conférence européenne de la culture faillirait à sa vraie mission, si elle n’éle
19 ilance publique, on pourra dire vraiment de notre Conférence qu’elle fut le congrès de la conscience européenne. Une conscience ma
20 e Madariaga, qui était d’ailleurs président de la conférence de Lausanne (NDLR). 7. Dirigé par M. Denis de Rougemont, avec la col
21 n. Rougemont Denis de, « Raisons et buts d’une conférence  », Fédération, Paris, janvier 1950, p. 19-25. o. Il s’agit du discou
22 scours prononcé par Denis de Rougemont lors de la Conférence européenne de la culture qui a eu lieu à Lausanne en décembre 1949.
7 1950, Articles divers (1948-1950). Un gage à Jean Paulhan ! (avril 1950)
23 alistes » dans L’Esprit européen, recueil de neuf conférences prononcées à Genève en 1949, par des hommes de tendances aussi opposé
8 1950, Articles divers (1948-1950). Il est impossible de sauver l’Europe sans sauver sa culture (5 août 1950)
24 emaine à ses lecteurs, un extrait de l’importante conférence prononcée par Denis de Rougemont au congrès de La Fédération à Beaune