1
on signifierait pratiquement la désintégration du
continent
en nationalismes rivaux. L’helvétisation signifierait l’intégration f
2
pour chacun de nous. Que signifie l’autonomie du
continent
, et que signifierait sa perte ? Quel que soit le parti dont nous somm
3
s, correspondant au cloisonnement géographique du
continent
, a fait pendant des siècles l’originalité de l’Europe et la fécondité
4
ntions à un droit exclusif dans l’organisation du
continent
n’est pas moins dangereuse et utopique que ne serait l’impérialisme d
5
d’abord impossible, de faire dépendre l’unité du
continent
d’une préalable mise au pas, intellectuelle ou politique, d’une unifi
6
d’abord impossible, de faire dépendre l’unité du
continent
d’une préalable mise au pas, intellectuelle ou politique, d’une unifi
7
peut-être plus effective, en imposant à tous les
continents
un certain angle de vision de la destinée, une notion de l’homme issu
8
sorti de l’esprit. Or, il se trouve que d’autres
continents
nous ont ravi les moyens matériels de la puissance, et nous en ont en
9
, dans Strasbourg, une Assemblée parlementaire du
Continent
. Mais toutes les constructions économiques, juridiques, politiques et
10
s spirituelles, intellectuelles et artistiques du
Continent
. b) Coordination des activités « culturelles » de tous ordres, qui se
11
re éclatante qu’une ère nouvelle s’ouvre au Vieux
Continent
. Monsieur de Rougemont, pourquoi faut-il fédérer l’Europe ? Parce qu’
12
ntre nous. L’Europe déchue n’est plus qu’un petit
continent
, divisé en vingt-quatre nations, à demi ruiné, et menacé par les deux
13
e pleine participation aux conseils politiques du
continent
. Et pourtant, nul ne songe à défendre un isolationnisme suisse : notr
14
rope étant acquis), à mesure que la fédération du
continent
se dessine et prend corps, la nécessité de lui donner une âme passe a
15
périence fédéraliste qui peut servir d’exemple au
continent
, les Suisses seront fidèles à leur vraie vocation en accueillant, sou
16
ne thèse simple : c’est que l’union économique du
continent
exige son union politique. Voilà, me semble-t-il, une manière implici
17
t le sens. (Point de départ d’une rhétorique.) Un
continent
nous est ici donné dans sa formule dynamique, dans son mouvement vers
18
tes ! Rien ne s’accorde mieux au génie matinal du
continent
américain. (La poésie des « blues » fait illusion : temps faible d’un
19
grand lyrisme américain. Ils sont classiques. Les
continents
, les peuples et leurs rites, les éléments, la quête et la conquête, l
20
, sur les derniers roulements d’orage… Demain, ce
continent
largué… S’ensuit une description charmante et déchirante d’une Franc