1 cace, dans les coutumes de notre vie politique et culturelle , où l’on voit la Suisse romande ou la Suisse italienne jouer un rôle

2 spect ou que la simple tolérance) des complexités culturelles , psychologiques, et même économiques, telle est la santé du régime fé

3 est formée d’une multitude de groupes politiques, culturels , administratifs, linguistiques, religieux, qui n’ont pas les mêmes fr

4 rtain que l’unité de l’Europe est essentiellement culturelle . Du point de vue de la géographie, l’Europe n’est qu’un cap de l’Asie

5 ixant les mêmes frontières rigides à des réalités culturelles , linguistiques, économiques et administratives, qui n’ont aucune rais

6 division arbitraire. Elle appauvrit nos échanges culturels . Elle laisse chacune de nos patries incapable de sauvegarder son auto

7 que c’est, l’unité de l’Europe ? Est-ce que c’est culturel  ? ou politique ? ou économique ? Très bons sujets d’articles ou même

8 que c’est, l’unité de l’Europe ? Est-ce que c’est culturel  ? ou politique ? ou économique ? Très bons sujets d’articles ou même

9 il y a un an, proclamait la nécessité. La section culturelle du Mouvement européen s’est constituée pour y collaborer. Elle a com

10 ues du Continent. b) Coordination des activités «  culturelles  » de tous ordres, qui se placent sur un plan européen. Deux exemples

11 rts nationaux, préparés par les « Groupes d’étude culturels  », en formation dans chacun de nos pays, fourniront la base des trava

12 férents pays. Je prépare également une conférence culturelle européenne qui aura lieu, en octobre, à Lausanne. Ce qui me préoccupe

13 mportante qui a nom : l’Europe dont les problèmes culturels , en particulier, accaparent tout mon temps. En effet, je dirige ici l

14 s. Mais nous voulons d’une part offrir aux forces culturelles de toute l’Europe les moyens pratiques de « s’engager » dans l’œuvre

15  : telle sera la double ambition de la Conférence culturelle , qui doit se réunir à Lausanne au mois d’octobre, sous les auspices d

16 Centre européen de la culture et de la Conférence culturelle , cela ne relève ni du hasard ni de considérations touristiques. Notre

17 u Mouvement européen, on a reconnu que le domaine culturel était celui où nous pouvions, sans compromettre en rien notre neutral

18 point par les commissions du congrès. La section culturelle du Mouvement européen6 avait estimé tout d’abord que deux commissions

19 beaucoup, par exemple, « d’organiser les échanges culturels  ». Observons tout d’abord qu’il n’en serait pas question si les front

20 édiat, sans condition. Le terme même « d’échanges culturels  », avouons-le, est devenu bien déplaisant, à force d’avoir servi d’éc

21 e la culture. Parmi les innombrables organismes «  culturels  » que le xxe siècle a vu naître, il est frappant de constater qu’il

22 attributions furent esquissées par la résolution culturelle du congrès. Au mois de février 1949, le Mouvement européen ouvrait à

23 aillé se trouve dans le rapport relatif au Centre culturel . Le besoin est donc reconnu, les plans sont là. La Conférence décider