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ivilisation : son génie, ses mesures, sa culture.
Défendre
l’Europe, aujourd’hui, ce n’est donc plus défendre le capitalisme ind
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éfendre l’Europe, aujourd’hui, ce n’est donc plus
défendre
le capitalisme industriel, ni la puissance militaire, ni la suprémati
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u’il a de plus défendable, comment allons-nous la
défendre
? Là-dessus, tous les esprits s’accordent : il faut sans plus tarder
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la Suisse à ne faire la guerre à personne, mais à
défendre
d’un seul cœur son indépendance reconquise. Paix, liberté, prospérité
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itiques du continent. Et pourtant, nul ne songe à
défendre
un isolationnisme suisse : notre pays dépend, plus qu’aucun autre, de
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ond, mais d’avancer. Qu’on m’entende bien : je ne
défends
pas ici (ce n’est pas le lieu, ni mon goût) une secte contre une autr
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rs à sauver, et des institutions qui pourront les
défendre
. ⁂ Le rapport général, établi pour l’information des délégués, n’a d’
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n point pour les louer contre nous, mais pour les
défendre
avec nous. P.-S. — « Europe vole » ? Un gage. r. Rougemont Denis d